Nous sommes passés dans la région du Cap, à la fin de notre périple Sud Africain entre la pointe Nord du Kgalagadi transfontier park (voir blog sur Kgalagadi) point le plus au Nord de ce pays et le point le plus au Sud de l’Afrique et du continent: le Cap de Bonne espérance (3ème partie du voyage). La zone du Cap et la ville du même nom sont véritablement un condensé historique et maritime. Une zone grouillante de vie et contrastée aussi bien au niveau social, économique que climatique.
Définitivement une ville et une région fascinante pour nous européens avec les villes de Franschoek et la zone des vignobles d’origine française…Jusqu’aux villes côtières du côté atlantique fraiches aux villes côté indien avec une eau plus chaude, les baies le parc national du Cap de Bonne espérance, la table de la montagne et évidemment la ville du Cap.
Nous sommes passés 2 fois par le Cap d’abord seuls et puis en famille.
Ce blog est concentré sur notre visite en famille où nous avons d’ailleurs visité essentiellement la région et un peu la ville. D’ailleurs je ne peux pas nier que cette ville m’attire beaucoup et que nous n’avons pas pu en visiter même le quart.
Alors voilà en 2016 le Cap et sa région furent notre dernière partie de périple et dernière visite de l’Afrique du Sud.
26/12 Nous arrivons à l’aéroport du Cape. Prise de bagages; marche jusqu’a l’agence de location de voiture nous partons une heure plus tard. Nous avons réservés dans 2 endroits un bed and breakfast a Simon’s town et en auberge a Rijk une exploitation vinicole après Franshchoek dans le Nord de la région, une zone vallonnée et très chaude.
Simons’s town arrivée avant 18.30, pas mal pour des touristes :), puis dépose des bagages prise de nos 2 chambres et à 19.00 départ par la navette du B&B pour le centre ville. Là nous mangeons dans un restaurant de fruit de mer Balthia. Pas mal pour un premier soir, bière au miel et curry de poisson pour moi, le reste de la famille teste d’autres plats avec du poisson quand même ! Au final à cause du vent plutôt frais, nous rentrons vers 20.00 et au lit.
Les chambres ont balcon avec vue sur la mer, le port, la route et ont aussi le bruit du vent. Cette ville est balnéaire et assez riche et propre, le train de banlieue la dessert ainsi que d’autres villes. La ligne longe la mer depuis la ville du Cap.
27/12. petit déjeuner complet pris à 8.30 et départ pour Bouler« ‘s beach voir la plage les rochers (boulders) et les pingouins du Cap. Mauvaise surprise pour moi SAN à aussi cette zone sous tutelle et c’est un parc avec paiement comme le KNP. Et oui dommage j’ai oublié la carte famille international du SAP et nous devons payer l’entrée x 5. Après avoir vu les pingouins et les touristes ainsi que les Sud africains qui profitent des plages environnantes nous tenterons de joindre la réserve ou parc du Cap de bonne espérance; mais là demi tour il y a trop de monde.
Les pingouins du Cap sont une espèce protégée qui malheureusement est aussi menacée par la perte de ses lieux de nidifications, la surpêche et les changements climatiques. La colonie des Boulders est donc zone protégée et interdite a toute construction, pêche etc. Lors de notre visite nous verrons aussi des animaux que j’adore les damans des rochers qui se dorent le dos tranquillement malgré les touristes à proximité.
Retour au B&B après avoir pris à manger en ville, déjeuner sur les balcons et sieste. Diner le soir en ville au même restaurant mais là je ne sais pas nous sommes déçus pas assez de choix peut-être, les autres restaurants semblent pleins et je n’ai pas réservé.
Dans cette ville, en dehors de la réserve peuvent se voir aussi des pintades en promenade près des routes une flore plutôt méditerranéennes et ces montagnes qui plongent dans la mer, bref un paysage saisissant.
28/12 Nous allons au Parc du Cap, la réserve de la pointe du Cape de Bonne espérance. Enfin nous y sommes, après avoir garée la voiture à 2 km du phare nous partons en promenade le long des plages et de la pointe du Cap. Les plages sont splendides, la mer glacée beaucoup de méduses les vaisseaux espagnols je crois. nous marchons et enfin nous passons sur le cap de bonne espérance enfin la pointe le cap est en mer et nous n’allons pas nager jusque là. Après avoir bu toute notre eau pesté après la masse de touristes abandonnés tout espoir de monter jusqu’au phare et profiter de ce paysage merveilleux. Nous prenons à manger sur la route et dînons dans nos chambres, nous sommes cuits littéralement par le soleil. Ça sent le cochon grillé tellement j’ai pris le soleil. Et oui le vent très frais est trompeur et je n’ai pas renouveler suffisamment les passage de crème solaire… Belle couleur marron mais sensation pas trop agréable, malgré les douches et la crème pour apaiser la peau.
29/12. Après les petit-déjeuner promenade a Simon’s town, le matin et ensuite visite du jardin botanique sous la chaleur. Belle ballade au pied de la montagne de la table, des animaux comme des pintades et autres volatiles des plantes, une flore splendide de la région et de l’Afrique mais pas seulement. Nous avons fait beaucoup de photos. Ensuite nous passons au centre ville du Cap, mais il y a trop de monde. Dommage nous voulions montrer aux enfants la de Victoria & Albert Waterfront et ses environs. Ce quartier complètement refait est très beau; sur la mer avec l’ancienne prison transformée en hôtel et université, la zone réhabilitée le port avec le pont à levier et l’aquarium du Cap 2 Oceans Aquarium (nous l’avons visité lors de notre premier séjour).
Nous y déjeunons et après avoir déambulé au niveau des anciennes halles transformées en ateliers et magasins artisanaux, visité un peu les environs et la place, nous retournons au B&B. Retour a 17.00, repos, dernier repas en ville et boutiques.
30/12 Départ pour Rijk, exploitation vinicole bien après Franschoek. Le trajet fait bien 90 km le paysage change constamment, mais c’est impressionnant. Les villes sont typiques de la région du Cape avec les maisons vieille de 250/300 ans et une architecture si particulière. Des vignes de la terre de la chaleur et des montagnes. Nous arrivons vers 13.30 et après une dégustation et une visite de leur fut nous prenons notre chambre maisonnette. Passage et visite de la zone a pied piscine bienvenue et rafraichissement nécessaire la brise atlantique ne se sent plus du tout ici. Le soir au restaurant pourtant réputé nous sommes très déçus: la nourriture est grasse et sans goût. Bon je continue mes dégustations de vins ( je ne conduis pas non ?!), au moins là je ne suis pas trop désappointée:). j’ai commandé 12 bouteille a l’issue de ma dégustation ajeun ( je ne marchais plus très droit après 4 verres de vins…)
Après le diner; retour tranquille dans la maison à la fraiche enfin et grosse nuit.
31/12 Départ assez matinal après une petit déjeuner meilleur que le diner, 90 min de route pour atteindre l’aéroport quand même plus de 100 km je crois. Arrivée là-bas nous ne traînons pas trop l’avion part en début d’après-midi avec escale a Johannesburg…Mais la route était fluide et il faisait plus frais .
Nous voilà donc de nouveau en Afrique du Sud pour un voyage divisé en 3 parties. Le parc transfontalier du Kgalagadi tout au Nord de l’Afrique du Sud qui est un parc à cheval sur 3 pays Afrique Du Sud, Namibie et Botswana. En fait il est sud-africain et botswanais.
Ce parc attire beaucoup moins de touristes que le KNP mais a pas mal de particularités qui le rendent tout aussi attrayant : moins long, semi-désertique donc de la route de gravier et un peu de bitume et beaucoup de routes réservées uniquement aux voiture 4*4 et en convoi et peu de logements ou camps. Il y a au final 3 camps avec des huttes et maisonnettes, mais seulement un seul avec restaurant. Partout ailleurs, vous devez être autonomes pour la nourriture et l’eau, voir avoir tout le matériel nécessaire pour cuisiner y compris le bois et le charbon. Dernier petit détail : pas d’électricité au minimum entre 21h30 et 05h00 du matin, donc pas de climatisation etc.
Voilà pour la description du type de logements, maintenant pourquoi y aller s’il fait chaud très sec (plus de 42 C en journée l’été austral) et qu’il faut être semi autonome ou complètement autosuffisant, si vous voulez camper ?
Et bien voilà pourquoi:
les lions à crinière noire et les renards du déserts, la hyène noire, les oiseaux de proies comme le bateleur et l’aigle royal… Les suricates et écureuils terrestres, mais aussi les scorpions et les serpents en théorie, du moins, puisque nous n’avons vu aucun serpent.
C’est un paradis pour ces prédateurs, il y a aussi des guépards et des gnous, girafes, oryx et autres animaux adaptés au climat aride de cette zone. Pas de buffles ni d’éléphants: ces 2 derniers sont trop gourmands en eau, il leur est donc impossible de survivre dans une telle zone (sauf hiver pluvieux, ce qui arrive tous les 50 à 100 ans). Les paysages sont splendides aussi et il y a plus de puristes ou vrais maniaques du safari animalier.
Bref, nous commençons notre périple sud-africains par 8 jours passés dans la zone du Kgalagadi (le vert, le rouge etc:).
La 2ème partie se passera dans le grand Kruger National parc (les parcs privés qui laissent leurs frontières ouvertes sur le Kruger) et le sud du Kruger et pour bien finir nous irons au Cap pour visiter la région et aller au point le plus au Sud du continent Africain. (voir blog Cape town :).
XX-Johannesbourg
Arrivés a l’aéroport et attente de notre interlocuteur pour la voiture de location Bushlore, pour attention : louer une Land Rover :).
Le type finira par arriver à 11h30, mais nous ne partirons pas avant 12h30 le temps de tout régler, les papiers, les détails de la conduite avec cette voiture et le ticket de parking (vue la note il a bien attendu avant de venir nous trouver).
Kgalagadi (1ère partie du voyage)
En route pour le lodge de Red Sands après une ville hautement déconseillée à traverser Kuruman. Cette zone est déjà à 500 km de Johannesburg et dans la région de Northern Cap ou l’un des Kgalagadis (kgalagadi vert et rouge entre autre). La route est mauvaise et nous nous tromperons, ce qui fait que nous arriverons seulement à 21h30 au lodge, nous aurons manqué le diner. Heureusement, nous nous sommes arrêtés pour faire le plein et acheter des vivres après avoir quitté la région de Johannesburg.
le lodge de Red Sands qui fait aussi réserve et camping et notre Land Rover la voiture des vrais pros de la route Africaine 🙂
Nous arrivons et sommes divisés entre 2 huttes ou parties d’une maison, 3 d’un côté et 2 de l’autre. Après une douche super rapide une bonne nuit de récupération, réveil vers 06h30 pour profiter des sables rouges du Kgalagadi et du camp/réserve… Après cela premier thé du matin ou rooibos et petit-déjeuner dans le restaurant de red sands. Saucisses, oeufs, bacon, pain, fruits etc. Il faut bien déjeuner au vu de notre nuit précédente et de ce qui nous attend encore potentiellement.
Pas le temps de profiter de la piscine: grosse déception , mais nous devons partir même si nous prenons notre temps , nous devons quitter les huttes chambres pour 10h00.
11/12 En route pour la ville d’Upington dans le kgalagadi vert. Après la traversée d’une zone aride et parsemée de mine et exploitation minière je pense, nous arrivons sur le fleuve Oranje (oui oui pas Orange…). La zone est riche de vigne et cultures. La zone est propre et les villes ou village bien entretenus. Le paysage et les gens changent Namaqua et/ou Sans apparaissent dans la population. Nous le verrons au parc: ils sont typiquement plus petits, fins et clairs de peau, comparés à la population ou ethnie dominante avant cette région. Nous arrivons au B&B African Vineyards après 4 heures de trajets. Nous posons les bagages et choisissons les chambres toute une histoire avec les enfants… Nous repartons ensuite pour Upington faire les courses et acheter à manger pour le midi: chicken pie j’adore !
Plus des saucisses, de la viande et de quoi avoir à manger et à boire pour notre arrivée au Kgalagadi. Retour au guesthouse pour 15h30. Manger, laver les vêtements, filles à la piscine à 16h00 jusqu’à 18h00. Et puis bains le soir, car il n’y a que des baignoires dans les chambres et diner à 19h30 sous une tonnelle. Un peu snob comme présentation mais intéressant : du ragout de mouton mijoté dans les pots de camping en fonte, après une entrée et du millet en accompagnement et dessert mud cake. Je goute aussi du vin local rouge. Il est très fort, trop pour moi peut-être la température ou le sol et le soleil pour son goût ? Au lit a 21h30.
12/12 Lendemain matin levé matinal avant 06h00 avec les oiseaux, les fleurs dans le jardin et l’eau tellement agréable à voir et entendre.
Nous finissons de visiter le jardin ou en plus des arbres fruitiers comme des figuiers; pêchers, amandiers, citronniers et grenadiers se trouve un plan d’eau et un canal où poussent des papyrus immenses. Bref, c’est une superbe propriété même si la présentation est un peu snob; le lieu est charmant. Presque une oasis, les enfants ont adoré la piscine et toute la zone. Après le petit-déjeuner pris a 07h30 nous refaisons nos valises et départ avec toute la nourriture l’eau et les bagages pour 09h15 après paiement du solde.
Départ pour Upington et le park Kgalagadi ou TFP. Nous nous arrêterons pour compléter le plein dans une ville étrange Ashkam pour acheter à manger et de l’huile d’olive et de la viande de Springboek.
Nous y mangerons et mon mari y trouvera des motards avec le même nom de famille que lui et oui ;), le monde est petit :).
A toute allure pour arriver a Twee rivieren, la zone est vraiment désertique. En fait dès la sortie d’Upington nous sommes passés dans le Kgalagadi rouge. Des acacias; plantes et herbes basses des dunes, quelques exploitations agricoles et des salins. Enfin nous voilà à Twee rivieren. Entrée et enregistrement pour le parc et le camp, explications des règles et du fonctionnement du camp dont les coupures d’électricité et les précautions à prendre pour éviter les scorpions. Nous sommes dans nos chambres adjacentes: en fait de chambres ce sont 2 chalets pour 4 personnes chaque, les chambres sont climatisées mais pas les cuisines.
Pause pendant 1 h et vers 15h00 nous allons faire dégonfler les pneus pour pouvoir rouler sur les routes de sables. En route pour le point de kij-kij nom d’une des plus petites espèces de gazelle. Le point d’eau est réputé pour les lions entre autre. En route nous verrons des Oryx, Autruches, Chacals, Gnous, Springbok et les Lions. Il semble que la zone est sa meute de lions. Les lions à crinières noires sont beaux très calmes et endormis. Le mâle se mettra même sur le dos pattes croisées. Les femelles veillent sur leurs petits un peu plus loin.
17h30 nous repartons pour nous assurer d’être rentrés avant la fermeture des portes. Une heure plus tard nous revoilà au camp suffisamment tôt pour nous doucher, préparer nos bagages et d’aller diner a 20h00. Le repas est meilleur qu’à Upington, légumes cuits et viandes d’Eland et de Springbok.
21h30 tout le monde au lit talkie walkie en main, portes fermées. Et là grande surprise l’électricité continue de fonctionner… L’orage claque au loin tandis que nous profitons de la climatisation fonctionnelle.
13/12 Debout à 06h00 même en poussant impossible de se lever après 07h00 du matin ! Préparation et petit-déjeuner. Après avoir fait le plein d’argent liquide ( pour régler les achats et l’essence les cartes bleues ne fonctionnent pas vraiment dans ce parc), de brochure sur les animaux du parc et départ pour le camp de mata-mata avec pas moins de 180 km à parcourir.
Sur ce long chemin, nous verrons en plus des animaux de la veille, des girafes et aigles bateleurs. Beaucoup d’arrêt et des lions et bee eaters superbes oiseaux bariolés qui font leur nid dans les berges des rivières ou dans le sable.
Nous nous arrêterons aussi dans un musée qui explique l’histoire de la région et du parc (le musée est aussi fait dans la zone où des Sud Africains ont tenté de construire un fort…). Très intéressant. Aussi petite particularité du parc toutes les toilettes sont entourées de grillage et grilles, disposées au milieu de nulle part, pas de paranoïa juste pour éviter de se faire surprendre par les lions et hyènes.
Bref, nous arrivons a Mata mata à 13h30. Après avoir suivi la rivière Aoub complètement à sec et avoir subi la route très inégale, enfin le repos. Déjeuner de ce qui nous reste et repos. Piscine à 17h30 pourquoi aussi tard, trop chaud avant une horreur à 45 C pas question de nous mettre dehors. BBQ à 19h00 notre premier pendant le périple. C’est assez simple du charbon+ du bois +allumeurs et allumette et ça part illico. Au diner saucisses, bœuf , tomates a l’huile d’olive d’Ashkam. Fruits secs en apéro et bière Windhoek draught. Petite aparté pourquoi Windhoek du nom de la capitale, à cause de la proximité avec la Namibie… Tellement proche que le poste frontière pour la Namibie est à Mata mata. D’ailleurs il suffit de le passer à pied pour aller prendre de la viande en Namibie (nous en avons commandé et l’avons prise avec des boissons dans une ferme magasin 500 m après mata mata la ferme Sizas). Jus de goyave et sodas pour le reste de la famille. Au lit à 20h30 après avoir fait une lessive.
Tout sèche si vite ici autant en profiter !
Le camp de Mata mata est aussi peuplé d’écureuils terrestres et de suricates tous absolument adorables. Nous verrons aussi des mangoustes oranges et énormément d’oiseaux : hirondelles, tourterelles, moineaux sociables, merles métalliques, faucons et aigles plus serpentaires. Le paradis pour ornithologues :).
photos suricates + oiseaux
Petit souci quand la climatisation coupe la maison devient invivable, il faut ouvrir toutes les fenêtres pour avoir un peu d’air et même avec cela c’est étouffant. La nuit sera catastrophique, la plus jeune dort avec nous et mon époux fuira la pièce pour celle non climatisée. Il prétend qu’on y dort mieux grâce au courant d’air… Le temps est à l’orage avec beaucoup de vent.
14/12 Au petit matin, nous émergeons vers 05.45 et à 06.00 nous voila partis pour 06 heures de safari si si! Nous ferons toute la zone au Sud de mata-mata jusqu’à Kamqua où nous prendrons la route transversale qui traverse le parc de part en part pour aller a Nossob et la rien sauf un duiker une autre antilope assez petite.
Bref après avoir vadrouillé , changé de route nous finirons par voir un aigle martial (comme le symbole des états unis ), des souris, écureuils en pagaille et des bateleurs, nous revenons déçus au camp.
La le frigo ne marchant pas nous devons jeter la viande et stocker le reste dans celui de la voiture. Problème résolu après le déjeuner il faut pousser le frigo au maximum. Sieste, lessive, piscine et nous achetons encore à boire et manger.
Reballade pour un point d’eau en fin d’après-midi re rien … Dommage mais c’est la règle du safari ne rien attendre ou croire comme dû. Nous nous préparons pour le diner après avoir eu droit au spectacle des suricates. Irrésistibles les interactions et les jeux et réprimandes en groupes ! Je comprends l’intérêt qu’ils suscitent. Bref, après un diner très agréable coucher enfant avec moi mais heureusement l’orage éclate et rafraichit la maison et l’atmosphère.
15/12 Debout vers 05h30 préparation des bagages et petit-déjeuner, chargement de la voiture, nous partons pour Nossob. Départ à 08h00 pour revenir sur nos pas et prendre la route transversale. Et là, changement de vue: Duiker, Oryx, oiseaux et une hyène a tâches en pleine baignade dans le point d’eau d’Eland (il fait horriblement chaud après tout ). Couchée dans l’eau, elle se rafraichit. Les écureuils terrestres, les merles, moineaux sociables, souris à bandes seront de la partie et à l’aire de piquenique de Kamqua. Des gens ont installé des bouteilles découpées sur la partie supérieure pour servir de baignoire à oiseaux et point d’eau. Lézard, souris oiseaux ils sont tous la. Les écureuils terrestres quémandent des biscuits (s’il te plait ou merci mais ils le font avec leur pattes avant).
Après cet arrêt et ce divertissement, nous repartons pour Nossob.
Arrivés a 12h45 je redoute que les chambres ne soient pas prêtes mais non! Les enfants ont une chambre pour 3 et nous beaucoup plus loin une pour 2. Notre chambre est désastreuse, un ventilo peu efficace et une salle d’eau au plafond délabré. Nous passerons les après-midi dans la chambre climatisée et la piscine ou le point d’eau, adjacent au camp. Haut lieu d’observation de la faune locale y compris la très discrète hyène brune.
Ce jour là nous repartons vers 17h00 sur Maria se Grat/De Braai un point d’eau où nous ne verrons rien. Quelle surprise !
Ce soir là pour nous aider à apprécier le parc à sa juste valeur une tempête de sable se lève pendant que nous préparons le barbecue. La tempête de sable et l’orage nous force à finir la cuisson de la viande de Springbok à la poêle et notre repas aussi à l’intérieur. D’ailleurs hormis le lendemain soir, nous mangerons toujours dedans. les filles ne supportent pas les insectes, ils nous harcèlent dehors et sont vraiment très nombreux. Du fait de la tempête nous passons la nuit dans la même chambre que les enfants (on se tasse dans des lits individuels). Heureusement pour elles, ce sera la seule nuit.
16/12 Réveil à 05h00 et lever à 05h20, nous partons pour 06h00 pour notre exploration du Nord retour à 08h00 un des enfants doit impérativement aller aux toilettes. Pas d’autre sortie de la journée, repos, jeux, lessive, déjeuner de nourriture déshydratée, observation de la faune dans et autour du camp et au point d’eau. Mangouste jaune, un superbe couple de corbeaux:le male très galantdiscute avec la femelle et lui ramène des offrandes si nous donnons quelque chose il le partage avec elle. Certains devrait VRAIMENT prendre exemple sur ce couple ! Sinon nous verrons des bancs entiers de tourterelles de Namaqua pressés autour des points d’eaux, des chacals stressés: ils sursautent presque à chaque bruit, des lions et bien sur la piscine!
Le soir diner tardif et nous allons dormir ou tenter de dormir dans notre sauna, enfin notre chambre délabrée.
17/12 Après une nuit entière passée à écouter les lions rugir et s’appeler (Nossob est réputée pour cela : fait avéré et vérifié), nous nous retrouvons debout à 05h00 puis réveil difficile de la progéniture et avant 06h00 nous partons pour le Nord. Le pire jour de safari, enfin le plus excessif : 8h30 de conduite et donc de safari, mais somme toute le plus intéressant.
Donc nous roulons jusqu’au point le plus au Nord du parc et de l’Afrique du Sud Union’s end : point frontière entre AfS, Namibie et le Botswana. Sur le chemin entre aller et retour nous verrons des renards chauve souris youpii! Oui bon moi les lions j’aime bien, mais j’aime encore plus les espèces plus rares comme ces renards, les hyène brune, les fourmiliers etc. On ne se refait pas hein ! Donc ces renards qui apparemment ont des terriers souterrains, des aigles bateleurs, faucons tawny, des Hartebeest rouges et des hyènes, les normales tachetées. Mais aussi attention : une convention de serpentaires et de vautours convention car ils n’étaient pas moins de 100 vautours tous ceux du parc ou presque et les 3 espèces ensemble !
Photos serpentaires photos vautours
Bref nous rentrons épuisés mais heureux, sieste et piscine après 17h00. Mari au point d’eau et il réussira à prendre une hyène brune, l’un des animaux fétiches du parc. Il sera chassé par une lionne joueuse, nous aurons droit à un beau spectacle nocturne ou entre chien et loup lorsque la pénombre arrive puis que l’obscurité s’installe.
photo hyène
Ah oui ,tiens une des espèces très recherchées de la zone est le pangolin (inutile de dire que nous n’en verrons pas). Ils sont malheureusement aussi l’objet des braconnage pour des vertus prétendument aphrodisiaque? Je ne sais plus bref, très discret et pas vraiment facile à observer pour nous assurément nous n’en verrons aucun.
18/12 Dès 05h00 mon éternel photographe de mari retourne au point d’eau et prendra des lionnes en train de boire.
photo lionnes
De mon côté, je réveille les enfants passés 06h00, bagages et autres puisque nous partons pour twee rivieren notre dernier camp, point de chute dans le parc: 170 km de route aussi.
Départ à 07h30 et arrivés à 13h30 avec arrêts aux différents points d’eau dont kij-kij avec les autruches, oryx, Lions à kij-kij, serpentaires et sur la route un guépard couché à l’ombre d’un arbre. Et grâce à qui hein à moi ! Oui j’ai l’oeil aussi quand je veux !
photo guépard
Après cela une fois au camp achat massif de tartes salées, eau, boissons et plein de souvenirs et de cadeaux. Chose promise chose due!
Repos, piscine et BBQ final dans le Kgalagadi dehors à côté de nos huttes. Nous aurons une séance d’observation de chauve souris dormant dans un acacia près du BBQ et de oh surprise scorpions très actifs et très entreprenants. Donc les scorpions non plus, ne sont pas un mythe. Ils sortent le soir pour patrouiller. Nous rentrons toutes nos affaires pour éviter tout conflit inutile.
Règle de base: petites pinces gros dard = venimeux à mortel, grosses pinces et petit dard douloureux mais sans risque. A retenir !
Après un diner pitoyable sans riz que je ne parviens pas à cuire (oui oui comment cela… Bon disons que les plaques de cuisson africaines et moi ne nous comprenons pas, voilà!), nous passerons une bonne nuit au frais.
19/12 Debout à 05h15, il fait plus frais que la semaine passée, nous déjeunons, trions les vêtements embarquement des valises refaites en prévision du voyage et départ du camp et du parc à 05h50. En route pour JNB (Johannesburg). Nous y arriverons à 17h10 après avoir extrêmement bien roulés jusqu’à 100 km de la capitale. Sur le chemin nous passons par Kuruman pas de danger particulier mais bon on ne va non plus insister. Par contre, les animaux sont tous laissés en liberté sur le bord des routes, chevaux, ânes, vaches, chèvres et moutons, sans surveillance sur des routes passantes ! Ceci jusqu« ‘à la ville de Vrybourg qui marque la fin du Kgalagadi. C’est consternant pour moi et dangereux !
Après cela un orage énorme éclate à 150 km de la capitale; là enfin nous voyions des veuves des oiseaux à très longues queues, splendides vision du pays. Après un dernier arrêt en station service en route pour la capitale tentaculaire de Joburg. Soweto qui devient plus propre et se développe vers des maisons en briques électrifiées avec des ballons d’eaux chaudes solaires sur les toits, nous continuons au niveau du périphérique. Petit détail vive le GPS parce que vraiment sans ce dernier pas moyen de trouver le chemin de l’hôtel et de l’aéroport.
Arrivés à l’hôtel check-in et coup de fil a Bushlore la compagnie de location des véhicules tout terrain et finalement tout le monde dans les chambres pour 17h30.
Récupération de la voiture tout aussi compliquée que sa prise en charge après des péripéties et un peu de stress vers 19h00. Diner et coucher après 21h30 et sous un orage tropical (c’est la saison non ?!).
N.B: inutile de stresser ici cela ne sert à rien, il faut se mettre à la vitesse sud-africaine pour profiter de la vie et de ses aléas.
Au revoir Kgalagadi et zone semi-désertique , bonjour la capitale zone urbaine. Fin de la partie 1.
Ce blog correspond essentiellement à notre 2ème partie de voyage en AfS de 2016. Il faut savoir que nous avons eu la chance de visiter le KNP et le Great Kruger soit les parcs privés adjacents au kruger dès notre premier périple en Afrique australe.
Nous avons, entre autre, visité la zone de Hoespruit, Nelspruit, autour du KNP réputés pour des camps et réserves privées, mais aussi pour la fin de chaine montagneuse qui traverse l’Afrique du Sud : le Drakensberg. Ce dernier qui finit par un grand canyon et des zones splendides à voir (un autre blog si nous retrouvons les photos peut-être) mérite le détour lui aussi.
Le KNP est le plus vieux camp national public d’Afrique du Sud et aussi le plus grand pas moins de 500 km du sud à l’extrémité Nord. A cette bande d’environ 100 km de large se sont ajoutés les camps privés qui ne mettent pas de grillage pour laisser la faune passer d’une réserve à une autre KNP inclus. Dans le grand Kruger, se trouvent des lodges tellement luxueux qu’il est impossible au commun des mortels d’y passer même une nuit.
carte ou lien pour KNP
Bref, entre 2011 et 2016 nous y seront passés 3 fois au moins et franchement je ne l’ai pas regretté, même si oui c’est terriblement touristique. C’était simplement renversant.
Nous avons visité la zone de Balule nature réserve avec le camp de Sausage tree bush camp (premier camp de notre premier voyage en Afrique australe et première nuit passée en AfS aussi et camp durant notre séjour photo), et dans la réserve de Timbavati le camp dont je parlerais plus tard : Simbavati.
sausage tree photos
Concernant le Kruger, nous avons pu visité le Kruger mais pas en une fois entre la zone centrale porte de Phalaborwa Olifant, Letaba, Satara, Shingwedzi et plus au sud porte Orpen, Skukuza et la concession privée de Lukimbi, jusqu’à la zone de Crocodile bridge à l’extrémité Sud. Le Nord nous l’avons visité, une fois avec Punda maria et Pafuri encore une concession privée mais sans la famille et Shingdwezi qui marque le début du Nord. Dans cette partie les touristes passent le Tropique du Capricorne et voient la végétation changer pour les baobabs et une flore plus tropicale. Les éléphants sont les rois dans ce parc en général , mais dans le Nord c’est encore plus marqué probablement à cause de l’eau avec les rivières et les lacs plus fréquents ici.
punda maria et Pafuri photos ??
Bref, si vous voulez explorer ce parc il vous faudra plus qu’un séjour et beaucoup de temps pour en profiter pleinement.
Maintenant la 2ème partie de notre séjour de 2016.
20/12: départ de l’hotel de JNB avec la navette. Nous serons à l’aéroport pour 08h10. Nous nous dirigeons vers les départs domestiques toujours à JNB où nous retrouvons l’autre famille qui fera le reste du voyage avec nous. Ils sont déjà là à chercher les comptoirs pour l’enregistrement. Bien nous n’avions aucune nouvelle et nous étions un peu inquiets puisque nous n’avions reçu aucune réponse malgré nos messages envoyés la veille. mais les connections via téléphone et SMS sur réseaux européens donc totalement indépendants du réseau Sud africain fonctionnent parfois difficilement.
Autre conseil en AfS prenez des cartes SIM locales prépayées cela revient moins cher et peut s’avérer utile.
Aussi si vous vadrouillez dans des zones peu fréquentéées et sans contact facile les systèmes de GPD et traceurs GPS avec fonction appel au secours internationaux peuvent être utiles. Le système que nous utilisons est américains mqis permet qussi d’envoyer des sms normaux :).
Bref enregistrement effectué en 10 minutes et nous voilà à passer les douanes. Les filles ont un examen de passage : are you a princess ? Auquel elles doivent répondre oui bien sur ! La cadette trouvera le moyen de répondre non et se fera arrêter car elle a échoué. Très sympathique ce douanier :). Nous passons donc les services de sécurité et attendons pour le vol qui part à 10h15. Bref, photos papotage et enfin embarquement pour Hoedspruit. L’avion partira avec 10 minutes de retard mais bon il sera déjà en amorce de descente 40 minutes après décollage.
A 11h15 atterrissage et nous nous retrouvons avec notre taxi à attendre les bagages, dans un mini chaos. L’aéroport d’Hoesdpsruit est civile et militaire et c’est petit… Presque tous les passagers sont attendus par des lodges et compagnies privées de safari puisque plus près du KNP est assez difficile (oui enfin si: Skukuza a une piste mais bon pas testé). Après s’être perdus dans la réserve de Timbavati, le taxi qui ne connaissait ni le lodge ni la direction arrive à Simbavati river lodge vers 13h00. Introduction par des hôtesses sur les règles, papiers à remplir, choix des chalets Hippo et Rhino pour nos 2 familles, nous pouvons poser nos bagages dans ces huttes familiales climatisées et très agréables avec vue sur la rivière à sec et terrasse.` De la terrasse vue sur la rivière à sec et le point d’eau lui alimenté. Ici il y a un immense restaurant, aire de repos; un salon , un bar, une piscine et un spa. Sans parler de la boutique souvenirs. Déjeuner servi à 14h00 avec de la nourriture correcte: des fruits et des légumes frais et des plats soit authentiques soit plus internationaux. Que c’est beau ! Après le repas nous décidons et je vais prévenir le guide que seules les mères iront au safari du soir. 16h00 nous voilà prenant thé et café et départ à 16h30 avec notre guide Stefan pour un safari où nous verrons en sus des impalas, Stenbok, girafes buffles et éléphants farouches et le clou du spectacle rhinocéros blanc.
Note : le rhino blanc est un brouteur sa bouche en bas,tandis que le rhino noir est plus omnivore et mange des plantes donc la bouche est plus haute sur la tête. Nous gouterons des fruits de la zone le blue saver plumb qui est orange et pas bleu et très amer, boirons un bon vin blanc sud Africain et nous ferons dévorer par les moustiques (ils ne me manquaient pas ceux-là). Retour à la nuit noire. 20h00 avec des serviettes rafraichissantes pour notre retour nous nous rafraichissons sous une douche et diner vers 20h30 autour du boma (le feu central du camp). Autruche au vin, pap butternut et autres légumes et dessert plus tard tout en ayant une discussion autour d’une table d’où nous verrons passer discrètement des hyènes, venues s’abreuver au point d’eau. Ici pas trop de lions, mais beaucoup d’antilopes les Nyalas; très jolies dont un mâle qui dort dans le camp. Des singes vervets et des babouins des voleurs qui savent ouvrir les portes (donc il faut fermer à clés). Coucher à 22h15, la nuit bien qu’agréable sera un peu courte avec le lever matinal.
21/12: lever à 04h45! Toilette de chat, thé matinal; prise de tout le matériel photo et en route avec un guide pour nous 5 dénommé Kruger et son pisteur Hermet. Après avoir cherché un léopard, nous verrons un troupeau d’éléphants avec 3 éléphanteaux, des waterbucks uniquement u groupe de jeunes mâles ou bachelors, kudus, stenbok, duikers pour les antilopes, des girafes, buffles, aigles et le lila crested weaver: un superbe oiseau. Les arbres les plus répandus dans la zone les mopanes ont des chenilles que nous gouterons à midi (déjà séchées par contre).
Cette année, était la pire en matière de sécheresse depuis 1991 et les pluies commencent seulement à remplir les réservoirs et reverdir la nature depuis seulement 2 semaines au moment de notre séjour. Évidemment les bousiers sont en pleine activité et des fleurs des lilis agrémentent ce calme et frais safari ( à cause des nuages c’est frais). Simbavati fonctionne sur le principe du dérangement minimal des animaux et pour chaque animal vu, nous ne restons pas longtemps. Bien sur il y a les explications des guides et les discussions, mais la zone a été déserté pour le Sud du Kruger beaucoup plus humide donc source d’eau et de nourriture pour les herbivores et par conséquent les prédateurs. Au final pas beaucoup d’animaux à voir.
Après un arrêt pour un thé chocolat et boissons chaudes et une recherche ultime d’animaux retour au camp pour 8h30. Petit-déjeuner à 9h00 pour en ressortir repus entre les thés, gâteaux, fruits frais yaourt et oeufs bacons etc; Sieste donc pour digérer et récupérer du safari matinal, jusqu’à midi ou plus tard même pour les enfants, pauv’petits !
Déjeuner à 14h00 après le passage de Nyalas famille avec petits; les tortues du point d’eau se réchauffant au soleil et l’observation d’un écureuil stressé nous voilà encore à manger. Piscine pour moi cet après-midi avec des enfants survoltés (la sieste…).
En général ce camp est bien, la restauration égaement; un peu lent le matin pour servir les plats chauds mais bon. Les chalets sont très bien à l’intérieur mais sur les terrasses pas de tables dommage. Les employés sont très présents et très serviables peut-être un peu trop commerciaux mais bien. Ce midi là achat massif de cadeaux pour tout le monde Noël approche à grand pas.
En soirée nous nous retrouvons entre adultes pour parler et boire dans la zone salon salle à manger. Ma fille ainée et la mère de l’autre famille ont été au safari et reviennent cuites. mais elles ont vu un chat sauvage et un hippo mais à la nuit tombée. Il fait trop chaud les animaux restent cachés du soleil. Tout le monde attend la pluie nous aussi d’ailleurs.
La gérante nous explique que des clients ont vu un léopard sur le quai 2 nuits auparavant et qu’il est courant que ces derniers passent dans le camp au niveau des patios aussi. Une autre anecdote tout aussi sérieuse est que les hyènes viennent dans le camp et tout autour pour chercher de la nourriture. Ces dernières attaqueraient des Nyalas si elles sont en groupe voir des enfants. Ah bon, bien les filles si vous être trop désagréables on vous met dehors la nuit compris !
Le diner est assez agréable mais la chaleur ne tombe pas!
22/12
IL fait déjà très chaud à 05h15, le game drive est peu intéressant sauf la hyène, le dagga boy ( ce sont les surnoms des buffles mâles qui se groupent entre bachelors : daggas boyas) et les hordes d’éléphants. Il fait chaud mais nous avons prèvu un bush walk.
Petit souci à 10h00 après retour et eptit-déjeuner il fait déjà dans les 40 C et la marche se fera sous le soleil pour voiru groupe d’éléphant.
NOus y allons et à 42C nous souffrons pour voir cette horde d’éléphant qui malheureusement nous repérera à cause d’Impalas stressées (radio bush elles braients et signalent la présence de prédateurs potentials). Une femelle avec petit nous voit et nous devons rebrousser chemin très rapidement car la dame commence à nous charger tout en trompettant son désaccord ! 3,5 tonnes c’est assez dissuasif en général!
Rapidement parce que plusieurs d’entre nous nous y compris nous sentons assez mal , nous retournons au véhicule et rentrons au camp. Peut-être aue le climat est trop chaufd pour nos organismes d’européens nordiques, je ne sais pas mais si à refaire cela ne sera pas dans ce camp et dans de telles conditions.
Retour à la chambre douche et repos avant le déjeuner.
Depuis hier le camp est sujet à des nombreuses coupures de courant qui au milieu de la nuit sont gênants voir perturbants. Cela ne cesse d’arriver et empire pendant la journée. Aujourd’hui l’orage éclate et il pleut mais c’est encore trop loin, la pluie rafraichit quand même l’atmosphère.
Dier autour du boma pap et moutons et saucisses de boeuf bien gouteuses ma foi ! Par contre le dessert marula cake et glace n’est pas terrible. Dommage !
Le guide Kruger nous tient compagnie mais la discussion est décousue. Bref au lit à 22h00 endormissement immédiat dans un camp où l’électricité a enfin été rétablie depuis 1h seulement.
23/12
lever à 04h50 pas très frais, tout le monde au petit-déjeuner à 05h15et dans la voiture à 05h30 pile !
Au programme éléphanteaux joueurs et le troupeau curieux mais placide de Buffles, Impalas et oiseaux : hammerkop, brown eagle, european king fisher.
photo h
ammerkop + oiseaux
Du côté des antilopes duiker, Steenbok en couple (eux aussi pour la vie) et très différent; le clou de la mâtinée: une troupe de Lycaons. Enfin nous les voyons ces superbes canidés aux pattes élancés. Malheureusement cette espèce détient le triste record d’espèce en danger d’extinction avec seulement 500 Lycaons ou moins comptabilisés sur le continent africains et 204 répertoriés dans le lowveld et le Great Kruger park.
photos des lycaons
Autant dire que nous sommes très privilégiés de les voir et les observer. Bien sur il faudra attendre longtemps et nous rentrerons à 09h00 au camp au lieu de 08h30 max. Cela déclenche un retard dans le petit-déjeuner mais en vaut la peine!
Ensuite douche et sieste, réveil à 12h30. L’après-midi de nouveau nous aurons des coupures de courant, pas de safari trop courts et pas assez de faune. Petit souci personne ne vient au bar avant 08h30 ils ne comprennent pas nos commandes rien. Diner presque aussi catastrophique nouvelle cuisine, pas bonne. Splendide nous allons au lit à 21h15 tôt mais nous sommes fatigués et le lendemain nous partons.
24/12
Game drive le dernier dans le camp à 05h30. IL sera sauvé par les Lycaons, trop de radios pour chercher un lion que nous ne verrons pas, buffles un peu et des éléphants un beau troupeau.
Ensuite le taxi vient nous récupérer au camp de Simbavati vers 10h30 mais le transfert Simbavati Lukimbi censer durer 03h15 durera 05h30. Il faut une heure pour sortir de la réserve de Timbavati et le chauffeur ne dit rien ou ne connait pas la direction ou bien si qui sait…
Lukimbi `photo ?
Nous arrivons a Lukimbi. Très joli camp privé mais les douches fonctionnent mal et inondent le sol et les game drive durent 3 heures maximum et les boissons ben non ce n’est pas compris dans le prix apparemment ?!
Crocodile river la rivière qui marque la frontière sud du KNP est en bordure de cette concession privée. ce dont nous profiterons lors d’un game walk ou rivière walk.
On nous expliquera comment sont les crocodiles de quoi ils se nourrissent en fonction de leur taille; et aussi un rappel sur le comportement des hippopotames. Bref combien il peut-être trompeur et dangereux de s’asseoir là au bord de cette rivière à proximité de crocodiles apparemment immobiles et d’Hippopotames peu aimables et très territoriaux. Très intéressant et rafraichissant (en plus il fait frais dans la zone sud du kruger presque froid à peine 25 C au plus chaud de la journée, si si froid après les +40/45 C de moyenne des presque deux dernières semaines.)
es enfants auront droit à une séance de moulages d’empreintes de lions et mini explorations autour du camp à pied. Vraiment bien comme camp, piscine près de la rivière et piscine/ réserve d’eau et point d’eau pour les éléphants et autres :).
photo camp et piscine ?
25/12
Game drive matin et soir. le matin rhinocéros blancs et lionnes entre autre. un léopard soit disant dans un arbre mais beaucoup trop loin pour nous.
Déjeuner et dîner de Noël. Je teste un merlot Rubicon avec la viande. Très bon mais disons que le vin est cher (à juste prix ou parce que nous sommes dans un lodge qui double les prix ?).
Soir : lors du game drive nous aurons la chance de voir 3 guépards, des frères. Splendides bêtes qui nous laisseront les observer tenter de chasser et ainsi que leur tactique se rouler dans les excréments des herbivores pour cacher leurs odeurs, les attaques en cisaille etc. Un superbe cadeau de Noël pour nous toutes !
26/12
Pas de game drive nous partons à 09h30 pour KMI l’aéroport de Nelspruit où nous arrivons pour 11h00. La route est dégagée, le paysage toujours aussi beau. Arrêt magasin achats de souvenirs et bijoux avec grosses pierres semi précieuse pour moi :). Au revoir le Kruger et la région du Mpumalanga et Lowveld !
Nous volons pour Cape Town le Cap où nous passerons notre dernière partie du voyage. Blog Cape town.
Apres quelques voyages en famille, et avec l’aide technique ou le support de mon mari, je me suis décidée a mettre par écrit mes notes sur notre voyage en Namibie. Tout d’abord je mettrais mes impressions générales, puis je détaillerais les différents hôtels et camps ou nous sommes passes.Bien sur tout cela reflète mon état d’esprit et le fait que nous voyageons en famille avec nos enfants aux intérêts parfois très divergent des nôtres… Résumé : Namibie versus Afrique Du Sud et autres pays limitrophes Notre périple : Windhoek, Country Club Parc National d’Etosha : Namutoni, Okaukuejo, Halali Zone de Grootfontein : Roy’s camp Bande de Caprivi : Mahangu Safari Lodge, Camp Kwando, Camp Chobe, Caprivi River Lodge, Etambi guest House, Windhoek. Impressions de voyage pour ce premier périple en Namibie.
Un peu prétentieux comme hôtel mais avec un cours de Golf à côté et au milieu un casino c’était à attendre. Malheureusement aussi le fait que le Country Club soit excentré par rapport à Windhoek. Par ailleurs, il dispose de chambres avec terrasses, se trouve dans un coin très calme et a une belle piscine au milieu d’un parc bien entretenu. Nous avons dû attendre un troisième lit pour la chambre des filles car notre réservation initiale pour 2 chambres avec lit king size avait été modifié sans préavis pour 2 chambres voisines avec des lits doubles…
Une fois que le lit fut livré nous avons commandé un dîner dans notre chambre et apprécié un repas assez gargantuesque avec steak d’Oryx et frites d’une part et mega-triple hamburger pour moi… Je n’ai pas pu finir il y en avait trop…. Au final, comme nous sommes arrivés le vendredi soir, après un long voyage et que nous étions un peu fatigués nous n’avons pas quitté l’hôtel. Les filles ont donc profité de la piscine et nous aussi pendant les 2 jours de notre séjour et des terrasses de nos chambres.
Le service est de bonne qualité, les déjeuners roboratifs de même que les dîners puisque tout cela fonctionne sur le principe des buffets plats chauds, froids desserts et fromages et même des fruits de mer qui ne nous ont pas tenté plus que cela. Pour éviter tous soucis pour la suite de notre voyage nous avons décidé de nous abstenir de manger des crevettes et seiches même si elles semblaient tentantes… Bref la piscine bien que très fraîche était très agréable et les terrasses bien exposées. Au final bon hôtel et bon service peut-être un peu cher mais bon, c’est l’un des rares 4 étoiles de Windhoek…
Direction le nord de la Namibie
Vol Eros-Ondangwa avec Air Namibia
Le paysage est lunaire depuis l’avion un pathwork de vert et de blanc gris entre le sable du désert et la végétation assez développée en été, saison humide pour la Namibie. Arrivée à Ondangwa ou nous attendrons la voiture une Toyota Hilux puis arrêt en ville pour faire le plein d’eau, de biscuits et de nourriture avant notre périple dans le parc Etosha.
Entre Ondangwa ville et région du Nord Ouest très pauvre et sèche et le Parc Etosha nous roulerons 3 heures. Entrée dans le parc par la porte de Namutoni, drôle de contraste avec cette zone à la fois désertique et pourtant riche en faune et en flore. Le parc quant à lui est très différent du Kruger et les camps aussi ou presque.
Camp Etosha – Okaukuejo
Nous partons après le petit-déjeuner pris à 7.00 tranquillement, plusieurs arrêts ou boucles secondaires mais pas trop car mon mari veut arriver rapidement au Okaukuejo Camp, le plus à l’Ouest dans Etosha ( Dolomite camp est à accès très limité en fait totalement interdit si la réservation n’a pas été faite et confirmée). Quelques photos et points de vue sont proprement à couper le souffle comme la possibilité de marche au fond du lac d’Etosha. Les mirages et les tourbillons de chaleur sont monnaie courante dans cette zone encore plus asséchée que Namutoni.
Nous arrivons au camp à 12.30 alors que le check-in pour les chambres ne se fait pas avant 14.00. Bien nous allons donc déjeuner et repartons pour un court safari. Okaukuejo: Point fort : Le camp est le plus grand, propre et entretenu au niveau des infrastructures mais aussi du restaurant avec un service efficace et des chambres coquettes. Celles que nous aurons, dans un chalet donnent sur le point d’eau. Avec une terrasse privée et un salon ouvert nous en profiterons au mieux. Les piscines : trois rondes sont assez fraîches et permettent un rafraîchissement assuré. C’est aussi le camp historiquement le plus vieux et une vrai station pour les zoologues et un centre de recherche.
Etosha Lookout (Pan view)
Point faible : le curio shop et la poste les employés sont totalement indifférents voire impolis. Agréable mais il semble que c’est une attitude plutôt Namibienne… Les circuits que nous ferons seront soient nuls soient très bien… Difficile de comprendre pourquoi nous avons de la chance ou pas. Ce qui est sur c’est que le camp et le point d’eau nous auront permis de nuit d’observer Rhinocéros, Éléphant, des jeunes lions et des lionnes, chacals et autres. De jour nous verrons des Oryx, Impalas et Zèbres et une mangouste à queue rouge, sans compter les oiseaux qui passent leur temps sur la mare.
Le matin
Etosha Camp – Halali
Halali Camp Départ après le petit déjeuner assez tardif. Les filles n’apprécient pas le réveil à 5.30… Bizarre, comme nous allons à Halali à seulement 2h de route nous ne sommes pas pressés. Enfin j’arriverais quand même à convaincre le chauffeur de faire des détours pour voir au final deux hyènes tachetées et des girafes de très près.
Derrière
Point fort : s’il y en a la piscine la plus grande des camps d’Etosha et le point d’eau ou site surélevé sur la colline avec les dolomites. Point faible : la liste est longue : les huttes , la nourriture, le personnel tout est de mauvaise qualité. Le restaurant est sale, mal entretenu, la nourriture est mauvaise et tout cela est cher. Les huttes bien que les plus récentes manquent de charme. De plus nous sommes séparés des filles, dans une hutte a 15 m de la notre… Ce n’est pas grand chose, mais nous sommes tout de même en Afrique …
La cuisine
Fortement déconseillé en été : Les safaris avec les guides du camp. Sans entrain ni originalité, sans parler des routes prises, exactement les mêmes ouvertes au public. D’où mon regret pourquoi ne sommes nous pas partis beaucoup plus tôt , au lieu de perdre du temps et de l’argent à Halali… Départ d‘Halali et Etosha et la 5 guépards sur la route pour Namutoni. Insensé ! mon mari manque ses photos. Nous roulons jusqu’à Grootfontein et Roy’s camp.
Etosha Camp – Namutoni
Mis à part le fort, un peu délabré, il n’y a pas grand chose à faire …. Attention à l’aspect général du camp, assez mal entretenu, le plancher part à certains endroits comme autour de la piscine ….
L’accès à la chambre … La climatisation ne fonctionnait pas dans la chambre des enfants et il faisait très chaud … Il a fallu attendre un certain temps voir un temps certain … Ils ne sont vraiment pas pressés …
Roy’s Rest Camp
Nous arrivons à 13.30 au Roy’s camp 50 Km après Grootfontein. Le paysage a beaucoup changé, c’est déjà beaucoup plus humide et vert. Joliment vallonné et parcouru d’immenses fermes ou territoire ou les fermiers blancs tiennent avec plus ou moins de succès l’élevage de vaches à viandes et d’agriculture relativement limitée.
Très basse la cuvette
Nous sommes surpris par l’aspect maison de poupée et récupération artistique du camp. Les chalets a la mode africaine sont charmants : toit de chaume, porte cochère. Point fort : Le confort et la situation du camp Point faible : amusant mais les marches pour accéder au premier étage dans le chalet familial sont glissantes surtout a la suite d’un orage violent de pluies diluviennes. Les filles adorent leur chambre au premier mais moins le ventilateur, alors que nous avons un climatiseur.Nous sommes surpris par l’aspect maison de poupée et récupération artistique du camp. Les chalets a la mode africaine sont charmants : toit de chaume, porte cochère. Point fort : Le confort et la situation du camp Point faible : amusant mais les marches pour accéder au premier étage dans le chalet familial sont glissantes surtout a la suite d’un orage violent de pluies diluviennes. Les filles adorent leur chambre au premier mais moins le ventilateur, alors que nous avons un climatiseur.
Accès aux toilettes/sdb
Mahangu Safari Lodge
Après notre départ assez matinal et sous une pluie diluvienne nous prenons la route pour la bande de Caprivi. En fait le trajet sur une route comme les routes principales namibienne très bien entretenue nous prendra somme toute moins de temps que prévu, a l’origine. Nous arriverons après un arrêt à Rundu ville du Nord ou frontière avec l’Angola et première impression notable du contraste entre la Namibie centrale et celle du Nord. Rundu ou nous nous arrêterons uniquement pour faire le plein est une ville avec un bidonville et pourtant l’une des universités du pays et donc un campus assez étendu. C’est également la plus grande ville du Nord loin devant Katima, Grootfontein et compagnie. Il n’en demeure pas loin que nous avons un aperçu de ce qui attend au Nord. Il y a effectivement 2 Namibie : celle du Sud et centre peu peuplée et aride ou semi-aride, mais somme toute assez riche et celle du Nord plus peuplée avec beaucoup de villages construit autour de huttes et baraques en tôles ondulées (sous 45 °C au soleil je n’ose même pas imaginer la chaleur qui règne à l’intérieur), probablement fonctionnant encore sous le système des chefs de villages ou clans qui repartit et gère les taches et les revenus, des villageois ou familles élargies. Rundu est une ville intéressante et la station/ supérette/ fast food ou nous arrêterons assez intéressante. En dehors du fait que c’était la première fois que je faisais faire un plein de 135 litres d’essence donc la première fois ou nous mettions autant d’essence à la fois dans une voiture, cela ressemblait fort a un joyeux capharnaüm.
Glace = Bio = Aucune odeur
Donc nous faisons le plein de la voiture d’eau de gâteaux et autres et nous en profitons pour passer aux toilettes et la, côté homme un concept totalement inédit, surtout dans un pays ou l’eau et son accès sont assez restreints : les toilettes aux glaçons, pas d’eau mais des glaçons en quantité pour nettoyer ou maintenir un semblant de propreté et pas d’odeurs.
Tous ces gens d’ethnies très différentes des bushmen et namibien centraux sont reconnaissables par leur village (tous entoure de barricade ou barrière en bois, avec des huttes rondes en torchis et toits en chaume), leur vêtements, leur morphologie plus grands et noirs compares aux bushmens par exemple mais aussi leurs mœurs… Les écoles primaires sont regroupées par communautés mais après observation je ne verrais en dehors de Rundu aucune école secondaire ou seulement une et pas de maternelle. D’ailleurs j’apprendrais et je constaterais que la scolarisation n’est pas une priorité pour les Capriviens. Mais j’y reviendrais plus tard. Bref après avoir refait le plein à Rundu et passer un énième barrage de police à Divundu ( en fait après et avant toute réserve ils sont la ainsi que les contrôles sanitaires pour éviter la propagation de certaines maladies vétérinaires, entre le Nord et le Sud), nous arrivons à Mahangu. Mahangu Safari Lodge. Le lodge est assez difficile à trouver, comme tous ceux de la bande de Caprivi. En fait, nous avons un doute les indications bien que claires sont un peu cryptiques… En pratique il faut suivre la route jusqu’au moment ou la route goudronnée s’achève pour continuer sur une route en terre… Nous sommes en pleine brousse, mais au moins nous avons une belle vue sur la rivière Okavango et nous aurons l’occasion de profiter de la vue lors de notre séjour au lodge… Le lodge est sympathique, idéalement situe au bord de l’Okavango, avec tous les repas sur le quai au bord de l’eau. Nous aurons 2 chambres communicantes avec une salle de bain pour nous 5 également, une table couverte dehors mais… le temps ne nous permettra pas vraiment d’en profiter. De plus la formule est très bien petit-dejeuner et diner sont inclus. Nous apprécierons la climatisation, les oiseaux très varies et splendides, la rivière et l’organisation germanique. Et oui le patron et ses principaux employés sont Namibiens mais allemand, donc ce n’est pas un mythe les Allemands ont bien colonise et liasse une population ou minorité non négligeable qui pratique toujours l’Allemand. Bref le camp ou j’ai également dépensé le plus d’argent en souvenir ( jolis bijoux et vêtements très utile et assez beaux :)). Ce camp est selon nous au même niveau qu’Okaukuejo voir mieux, mais la sortie sur la rivière Okavango ne sera pas très riche ou autant que nous l’aurions espéré : hippopotames, oiseaux à foison, un jeune crocodile et une loutre très, trop discrète pas moyen de la prendre en photo. Le parc adjacent sera une autre frustration : 1 Reedbuck de loin des aigles pêcheurs africains certes et des kudus et varans et même des singes et des lechwe, mais après Etosha nous espérions plus. De ce point de vue le guide ou gérant est très honnête il nous expliquera que ce n’est pas la saison car les éléphants traversent l’Okavango pour passer au Botswana et les lions et léopards sont très discrets et peu nombreux donc invisibles à nos yeux. Mais Noel est la et les cadeaux sont offerts et appréciés par tout le monde. Nous assistons à un bel orage probablement le plus beau que nous ayons vu, plus tard nous serons pris dans l’orage mais à Mahangu heureusement nous verrons le phénomène et les éclairs…Tout cela est démesuré à cause de la rivière charriant une quantité d’eau assez effarante.
Camp Kwando
Après le départ de Mahangu, nous traversons Bwabwata National Park une autre réserve avec des villages et regroupements de villageois sur les 120 km de la route principale. Encore un concept qui bien que logique me laisse perplexe : la cohabitation entre des villageois avec leur bétails (vaches, chèvres, ânes) leurs cultures et les animaux sauvages qui doivent être en théorie protégées dans cette réserve me semble incompatibles. La par d’ailleurs n’est pas réputé pour sa richesse faunistique surtout encore une fois en été saison des pluies et donc de dispersement de la faune ou migration cote Botswana. Hormis les panneaux indiquant les passages ou voies des Éléphants, et antilopes nous ne verrons rien. Si des oiseaux :). Bref nous arrivons à 12.30 au camp Kwando après une dizaine de kilomètres sur une route goudronnée toute neuve la C49 et 3 km dans la brousse. En arrivant finalement la première impression est joli, le salon, le bar, la réception sont jolis. Sur la rivière Kwando avec les nénuphars et les papyrus. Oui mais le chalet familial qui nous est réserve n’a aucune climatisation, ni ventilateur. La beauté du concept eco lodge, mal entretenu et jouant sur sa réputation,nous fera souffrir. Il fait trop chaud pour dormir ou se reposer dans le chalet, la terrasse sur la rivière n’est même pas abritée du soleil ( il manque la paille ou les roseaux pour nous permettre d’être à l’ombre). Hors le soleil il y en a , beaucoup même.
Nous emmenons les filles dans la piscine. La encore très intéressant comme principe : le camping est a coté de la piscine qui est utilisée par les campeurs comme douche ou baignoire, avec plongeon directement dedans sans se doucher auparavant. D’ailleurs la aussi la pompe de filtration ne fonctionne qu’une heure le matin et le soir… De ce fait cette piscine est de couleur blanche grise et les filles ramassent du sable et d’autres particules dont elles se débarrassent sous une douche bienvenue. La douche ou les deux sont répugnantes, l’eau utilisée soit disant pompée et filtrée depuis la rivière est certe pompée mais la filtration est comme le reste cela fonctionne à l’occasion. Nous retrouvons cette eau froide dans les lavabos avec le limon et la terre inclus. Lorsque j’aurais la mauvaise idée de laver du linge je retrouverai plus de taches sur les vêtements a cause de cette eau filtrée qu’il n’y en avait auparavant. L’alimentation en eau aussi s’avérera aléatoire et le personnel n’a aucun intérêt ni n’est d’aucune aide pour nous. A la limite de l’impolitesse… Nous avions prévu une ballade en bateau pour voir si quelque animal serait visible, mais cela ne se fera pas. Probablement avais je mal compris mais je croyais que nous irions seuls sur un bateau or nous nous retrouvons avec un groupe de chinois très bruyants dont un bébé plutôt remuant et le guide nous explique qu’il est seul… OK, nous repartons pour tenter l’après midi puis après avoir réfléchi, je vais annuler.
A quoi bon payer aussi cher pour être traités comme du bétail ou plutôt des pigeons. Une économie de faite dans cet eco lodge qui pratique des prix pas vraiment eco ! La nourriture aussi est décevante a la limite du ridicule les portions du déjeuner sont déjà très limitée mais le dîner arrive au comble 10 frites et 5 morceaux de potiron qui accompagnent la viande noyée elle sous la sauce. Les matelas sont sales et défoncés. J’en pleurerais de frustration tellement je suis exaspérée. Nous n’irons même pas au parc voisin de Mudumu… Enfin la pluie arrive et les nuages rafraîchissent heureusement l’atmosphère du coup nous passons la journée a ne rien faire et a parler de notre… prochain voyage : ou irions nous dans quelles conditions, destination, période en famille sans ? Tout cela pour revenir a notre situation actuelle, la Namibie nous a énormément déçu, au final même Etosha nous a laisse sur notre faim. Donc nous hésitons entre Afrique du Sud avec Kgalagadi et Cape Town ou le Kruger National park ou bien un retour mais dans des zones inconnues de la Namibie : désert du Namib, cote des squelettes, ville fantôme allemande… Qui sait ?!
Camp Chobe
Départ du camp à 9.30 après un petit déjeuner copieux mais encore une fois chaotique. La route est ennuyeuse cette impression de décalage demeure Afrique ou campagne française ou Italienne… Pas d’odeur mais quel est ce pays sans odeur pourtant si chaud !!! J’étais absolument stressée en passant à Katima, comment sera le camp Chobe: bien ou aussi catastrophique que le camp kwando et oui c’est également un eco-lodge ! Au final après beaucoup de doute nous arrivons dans camp Chobe. Si Kwando était paume, Chobe tient du sport a 4 km par la route de terre de la frontière botswanaise sur le fleuve Chobe et au final a 200 m du Botswana il est bien situé.
La bonne surprise l’accueil est très agréable le personnel accueillant, ice tea serviette fraîche vérification discrète de nos identités. Les tentes sont spacieuses bien aménagées et décorées et même si c’est un eco-resort sans ventilateur il est largement au dessus de Kwando. Propre, neuf… Chaud par contre c’est évident mais avec la terrasse ombragée et le principe des aérations cela demeure supportable. Seul bémol : une aération plus importante au dessus de la salle d’eau compléterait agréablement. La piscine quoique petite est propre, presque pas de campeurs aussi :). Le personnel est serviable et avenant, réactif tout cela nous fait conclure on reste !
A quoi ressemblera le « game drive » et la première nuit, nous le verrons bien ?! 28 Décembre Intéressante expérience, une tempête s’est déclenchée vers minuit : orages, éclairs et pluie diluvienne. Nous avons fermé toutes les fenêtres mais l’eau rentrait quand même, a cause du vent et de son intensité. Apres cela et le stress de savoir/ ne pas savoir sil es filles nous appellerait nous avons bien dormi. Jusqu’au petit matin quand nous avons entendu le rugissement du lion mâle du secteur. Malheureusement, nous n’avons rien vu, pas plus que des mammifères pendant le « game drive ». En dehors des oiseaux et aigle pêcheur, rien de bien folichon ! A croire que je suis maudite, sérieusement ce camp est surement agréable a la saison des pluies (Février) pour sa faune avicole, mais pour les mammifères je suis perplexe. Sinon, bien sur, c’est confortable et agréable pour se reposer mais pas pour faire du safari.
La douche
Ce qui arrive lorsque l’on écoute pas le manager …. L’on a tout de même vu des « bourgeois » en berline Mercedes !!
Restaurant et réception
Zambezi River Lodge
Encore une fois durant ce voyage la hutte ou chambre familiale n’est pas prête (pas finie en fait), donc on nous sépare dans deux huttes à la sud-africaine : toit très élevé en chaume, mais avec ventilateur ! Ce lodge est petit mais agréable, cuisine familiale qui s’adapte aux enfants si nécessaires.
La chambre
Bref correct même si, nous nous ennuyons tous ferme. La fatigue du voyage se fait sentir, la cadette est ingérable et comme nous devons prendre le traitement anti paludéen elle recommence a chouiner, le truc du médicament dissous dans le fanta ne fonctionnera pas elle n’aura qu’un quart de sa dose mais ne dînera pas.
Vers le restaurant
Sinon nous avons vu une mangouste rayée, des oiseaux comme martin pêcheur nain, singe Vervet, pintades bleues apprivoisées, elles restent en sécurité au niveau du camp et une des filles a vu un serpent vert. Apres avoir écouté la voix de la raison, je décline l’offre d’aller aux Victoria Falls avec les filles. Il faut dire qu’a ce prix la 9000 NAD ou 750 Euros, cela m’apparaît comme hors de prix et au delà de ce que proposait la Cie que j’avais contacté avant notre départ.
Retour vers le vieux continent via l’Etambi Guest House à Windhoek
Nous y arrivons après 12h de route. A 18h00 nous y somme finalement; totalement fourbus avec une migraine effrayante, harasses et nauséeux, et pas seulement moi. Nous sommes ravis : la pension est bien située dans un quartier calme, la chambre familiale est très bien. deux chambres communicantes avec une grande télévision, une belle salle de bain et un patio jardin avec même une petite piscine. IL y a aussi une salle a manger commune tout cela autour de cette maison avec de nombreuses chambres occupées mais d’ou pourtant nous n’entendons pas les occupants ou très peu. Quel calme ! Le temps est chaud mais supportable. La douche un délice pour nous tous, par contre le dîner un peu limité. La gérante nous prépare un diner car la cuisinière leur a fait faux bond et les restaurants sont fermés : normal un premier janvier ! Nous dormirons comme des loirs, la climatisation nous y aidera et les lits aussi (grands et confortables :)). 02 Janvier Petit déjeuner a 08h30 puis préparation pour le départ l’ultime ! Nous partons à 09h45 transport par taxi depuis la pension organisée aussi par eux comme la reprise du véhicule de location tout cela est sous gestion familiale mais tellement pratique ! Pas de discussion tout se finit bien ! Nous arrivons à Hosea Kusako qui n’est pas le plus efficace ou le plus organisé des aéroports ou nous sommes passés mais après avoir patientés plus dune heure dans la queue nous enregistrons enfin nos bagages pour JNB. Apres cela passage en boutique pour finir notre quête de cadeaux ou souvenirs de la Namibie et surprise du chef : en Namibie les papiers d’immigrations se remplissent à l’aller et au retour et oui !! Deux papiers à remplir par passager quelque soit l’âge d’ailleurs… Quelle efficacité à l’age du numérique et de l’ordinateur la Namibie traîne très loin derrière sa grande voisine l’Afrique du Sud.. Bref après ces détails et nos ultimes emplettes enfin l’avion pour Johannesburg et ce sans encombre ! Et voila , la fin du trajet avec les escales en Afrique du Sud et à Dubai puis a Stockholm sont peu intéressantes si ce n’est ce fait important : éviter de multiplier les escales et leur durée si vous voulez arriver en entier et ne pas risquer de manquer un vol suite a un assoupissement malvenu :). Ce qui n’arrivera pas par chance ou méfiance de ma part peu importe.
Le tour de la Namibie du nord au sud en évitant le Fish River Canyon pour cause de chaleur (en cette période)
Notre dernier voyage en famille en Afrique australe. Cette fois-ci , nous avons voulu marquer le coup et visiter presque tous les endroits où ni nous ou les enfants n’avions pu aller. Pari rempli ou presque. Nous avons voyagé entre le 08 et le 29 Décembre, en pleine chaleur estivale pour la Namibie. Du fait de la période estivale en Namibie, j’ai abandonné l’idée du Fish River Canyon mais j’ai conservé une visite étendue du désert du Namib, Namib Naukluft, Sperrgebiet, Sossuvlei, Namibrand, Skeleton coast et Cape Cross et Diaz… Nous avons visité les régions de Swakopmund le Namib au moins les parties praticables et ajouter des destinations un peu moins connues: Waterberg Plateau, Solitaire, Lüdéritz, Aus, Keetmanshop à notre point de départ et arrivée: Windhoek.
Et tout cela sur 3 semaines et 6500 km. Pas mal…
Windhoek Country Club (encore)
07/12 Nous partons sous la neige et le froid d’un pays nordique avec Qatar airways. L’avion part avec 30 minutes de retard… A Doha le contraste bien que prévu nous touche +21 C, nous retrouvons le papa à Doha et embarquons pour le 2ème et dernier vol aller du voyage. Nous pourrons nous répartir sur des rangées différentes et dormir couchés, car l’avion est à moitié vide.
08/12 Atterrissage a 10h15 à Windhoek enfin la Namibie il fait +23 C le bonheur après les -3 C la neige et l’obscurité. Pas très réveillés car nous n’avons pas assez dormir , moi en tout cas oui !
Nous passons les douanes comme à chaque fois les douanières sont désagréables nous séparent des enfants et n’écoutent pas: bien sur que les enfants peuvent se débrouiller et se gèrent tout seuls, à 12 ou 10 ans ! Bref, nous voici officiellement en Namibie nous attendons les bagages pendant encore 15 minutes après le passage des douanes nous passons le dernier poste de contrôle et nous attendons le type de Bushlore, qui est là. Miracle !
Voiture de location Bushlore (modèle typique pour safari)
Nous allons attendre dehors qu’il trouve les autres clients et c’est enfin le choc tant attendu: la Namibie, soleil, chaleur, temps sec. Nous achetons des billtongs, de l’eau et des autocollants pour la grande (elle fait une collection :). Après 25 minutes de plus nous prenons le minibus direction Windhoek Ouest et le bureau Bushlore. A 12h30 nous y sommes enfin il faut dire que l’aéroport international est à 40 km de la capitale. D’ailleurs il nous faudra encore 1 heure pour tout régler et partir avec la voiture de location. Pour nous perdre sur la route de l’hotel car la route est très longue et je n’ai pas pris les coordonnées GPS… En chemin, nous allons dans un supermarché et je demande de l’aide à l’intérieur, je me retrouve à parler avec les patrons blancs au 1er étage. Ils me prodiguent des conseils comme pas de signes ostentatoires, d’appareils photos visible, ne rien laisser trainer dans la voiture, ne jamais sortir le soir. Bref la Namibie n’est plus ce qu’elle était. La fille du patron nous guidera jusqu’à l’hotel où nous pourrons enfin faire le check in et aller dans nos 2 chambres séparées. Repos puis piscine mais elle est occupée par beaucoup de monde beaucoup trop (un mariage?). Aucune chaise longue n’est libre, les filles se baigneront jusqu’à 16h00 retour aux chambres commandes de repas léger et à 19h30 diner au restaurant. Comme toujours les desserts sont mitigés, la viande est bonne, les légumes et les salades moyens aussi.
A 20h30 nous sommes épuisés et allons dormir.
09/12 debout à 07h30, petit déjeuner à 08h30 et départ de l’hotel à 10h00 en route pour Waterberg Plateau.
La grosse bébète que voilà – Lumière dureNous avons eu de la chance, ceci est un chacal en train de regarder, sans trop s’approcher un « Honey Badger » qui chassait des écureuils terrestres… Digne des dessins animés de la Warner BrosNamibie…Désert du Namib
Waterberg Plateau- Waterberg Wilderness Valley Lodge
09/12 Arrêt dans une station service à la sortie de Windhoek, essence et nourriture… et eau mieux vaut prévenir. Et 3h30 plus tard nous arrivons au milieu de nulle part dans le parc national du Waterberg Plateau et dans la réserve privée Wilderness réputée pour ses rhinos.
Pan de rochers typiques de Waterberg Plateau
C’est au milieu de nulle part, un panneau devant une zone grillagée et nous entrons, 4 km plus tard sur une route de terre nous arrivons à la réception où le lodge est prévenu de notre arrivée, encore 2 km et nous arrivons enfin au lodge qui n’est autre qu’une ancienne ferme totalement transformée en lodge et réserve privée.
D’ailleurs nous le comprenons grâce aux explications sur le site et au logement que nous avons eu une maison presque intégralement réservée à notre famille. Pas de climatisation; ni de ventilateur mais nous y arriverons sauf les après-midi et en début de nuit où il fait encore très chaud… Il n’y a pas de chutes d’eau mais de l’eau coule a flot dans toute la zone et cette eau est envoyée via un canal de 500 km de long jusqu’à Windhoek.
Donc après une courte sieste et un passage par la piscine gelée et alimentée par l’eau de source, nous allons marcher avec les filles en faisant l’un des parcours libres dans la zone semi montagneuse. Nous y verrons des Damans des rochers beaucoup de Damans… Des Babouins, des dik-dik (je me ferais siffler par un dik-dik, casse toi de là ou quelque chose dans ce genre) et des Kudus… Nous avons l’occasion de voir les Damans en pleine action, on dirait des peluches et des animaux patauds, mais en fait ils sont agiles et un peu fous. Ils sautent ou se laissent littéralement tomber des arbres où ils montent pour chercher des pousses et des fruits ou simplement pour jouer. Le bruit fait peur mais ils ne se font pas mal. Ils aiment aussi beaucoup l’eau donc les piscines leur servent de réservoirs d’eau. La densité de damans me laisse aussi plus que surprise, évidemment c’est une zone de rochers et montagnes mais quand même il y a presque une procession.
a 19h30 dîner imposé croquettes de kudu, salade de carotte et soupe de carottes ;), en dessert un tiramisu.
Au lit à 20h30, il fait nuit noire nous dormirons vite, trop fatigués par la chaleur.
Dik-dik (femelle car elle n’a pas de corne)
10/12 Lendemain à 05h30 réveil par les chevaux sauvages (relâchés après que l’exploitation de la ferme se soit arrêtée je suppose) les dik dik, les damans et les pintades et autres oiseaux très nombreux nous réveillent.
Nous déjeunons, cherchons nos affaires, de l’eau, des chapeaux, crème solaire lunettes de soleil et chaussures de marche et hop : en route pour une marche de presque 4 h le rhino track. Depuis la réception jusqu’à l’endroit où ils sont nourris et en chemin nous verrons seulement des oiseaux de la flore et des girafes.
Après 2h30 de marche intense sous le soleil nous arrivons au site où ils nourrissent les rhinocéros. Des rhinos blancs tous les 5 sont là : 3 femelles et 2 mâles dont le seul nourrisson. Le seul né dans la réserve.
Le guide France nous explique que d’ici 2 ans le petit sera assez mâture pour marquer son territoire et poser un problème: choisir entre le jeune ou le vieux pas fichu de se reproduire en 20 ans avec les femelles sauf peut-être cette fois là. Le jeune pourra faire des petits avec sa mère ou les autres femelles. Pas de consanguinité entre rhinos ? Ah ?!
Les rhinocéros (femelles)
Après une heure passée à les observer nous retournons en voiture à la réception arrivés a 11h20. et à 12h00 à la maison, petite pause déjeuner chez nous puis sieste et goûter pour tout le monde sous les bambous (ah oui de l’eau de l’eau et de l’eau donc bambouseraie et mare très agréable pour le gouter).
Après cela piscine pour nous sauf la grande elle travaille pour son pre bac. Elle nous rejoindra finalement.
Dîner à 19h00, un peu meilleur cette fois, rock shandy pour nous je teste du vin blanc maison moyen et coucher re-20h30. Nous regarderons la voie lactée depuis la terrasse sur le toit, joli vraiment joli… dommage qu’il y ait de la lumière mais amusant d’entendre les employés chanter et faire un peu de bruit.
11/12 Lever à 06h30-07h00 pour tout le monde, petit-déjeuner à 08h30 puis départ pour 10h00. La note est horriblement lourde, heureusement que Thierry participe.
Nous partons pour Etosha, arrêt à Otjiwarongo pour la nourriture et de l’argent liquide. Enfin route jusqu’à Etosha nous y arriverons à 13h00.
Etosha- Okaukuejo et Chalet premier Waterhole
11-15/12 : Nous resterons 4 jours et nuits à Okaukuejo et dans un chalet premier Waterhole. Malheureusement ce chalet dit de luxe s’avèrera dans un état lamentable… L’avantage nous y sommes tous ensemble et avons une terrasse qui donne sur le point d’eau et nous permet de voir la voie lactée ou tout ce que nous pouvons regarder le jour et la nuit. Notre chambre est au premier et celle des filles en bas. Nous avons un salon et 2 douches. Bref, cela irait bien si les portes n’étaient pas à moitié défoncées, les tringles aussi, des cables qui pendent, la peinture qui s’écaille, l’évacuation des eaux usées très mauvaise et la vue sur le point d’eau plutôt limité.
trou d’eau Okaukuejo, très fréquenté … par des oiseaux
Premier safari, le soir a Neuuwon et Onkondeka, je conduis mais ce sera la seule fois à Etosha.
Le soir dîner à 19h30 nous manquons le coucher de soleil. Il n’y a pas beaucoup d’animaux à Etosha et au point d’eau et ce sera l’observation générale. Des éléphants, des Elands, pas de petits prédateurs ou mangoustes par contre beaucoup de lions.
Au total, nous en comptons 16 vus sur 3 jours.
Lion, Girafe et Oryx
après la chasse, il faut dormir… et après avoir dormi pendant 1 ou 2 jours, il faut aller boire et se bouger un peu.
ben quoi, chasser, manger, dormir et … boire voilà le programme des jeunes mâles chassés du clan
12/12. Lever vers 2h du matin pour observer la voie lactée et le trou d’eau..
A 06h20 départ pour Neubrowni pour voir des Lions, des Springboks et des Zèbres.
retour à la hutte pour prendre le petit-déjeuner, puis passage pour achats articles de tourisme eau et nourriture pour le déjeuner.
Ce sera la même routine les 3 jours.
Eléphant (vieux mâle comme l’indique l’usure de ses défenses)
09h30 2ème safari de la journée lions, hyènes Zèbres, Springbok, Kudu, Impala.
Hyène joueuse, elle passera son temps à courir via un passage entre les 2 côtés de la route… puis à vérifier si nous la cherchons
Chaque jour nous nous reposons l’après-midi avec révisions pour la grande, lessive douche, sieste et piscine 2 fois. Faits marquants le camp est vide, il fait chaud et sec, très chaud et très sec.
petite douche
Au final nous verrons des honey badgers, en chasse des écureuils terrestres, des lions qui dorment, des Oryx, Girafes, Gnous; Zèbres, Red Hartebeest, Eléphants,
Zèbres de dos, vieil Eléphant qui vient boireUn écureuil terrestre qui se sert de sa longue queue comme un parasolun couple de honey badger qui a chassé pendant près d’une heure des écureuils terrestres, pendant que le Chacal lui attendait de pouvoir peut-être voler une proie (chasse infructueuse)
Pas de Léopards ou guépards ou autres félins et Civettes.
La hutte premier Waterhole que nous avons est la première à gauche et très mal entretenue, il y a des arbres donc des oiseaux mais cela cache le point d’eau. Au restaurant, c’est un peu décevant à l’exception du Rock shandy et Beer Shandy et de la viande de gibier, c’est un peu en dessous de ce que nous avons vu ou connu lors de nos précédents voyages. Je fais nettoyer du linge et c’est enfin efficace, beaucoup plus que moi :).
Troupe d’éléphants et Lion
De la hutte nous pouvons voir des souris à grands yeux noirs, des lapins, des perdrix des pintades à casques et sans, des corbeaux et des rhinos qui viennent boire et dormir au trou d’eau et une troupe d’éléphant avec des petits.
Cohue autour du trou d’eau : springbok, zèbres, oryx et autruches au loin
Dans les safaris en dehors des troupes de lions jeunes lions célibataires et autres Lions, nous pourrons observer en long et en large les écureuils terrestres, des autruches des éléphants très réveillés. Petite anecdote les éléphants peuvent dormir debout voir d’après nos observations debout en buvant. Comment le savoir: ils lèvent légèrement une de leurs pattes et restent là sans bouger pendant presque une heure.
Après un dernier petit-déjeuner pas trop tardif et le check out, nous prenons la direction de Andersson Gate et des derniers points d’eau du parc Etosha.
Pas de lions en partant mais des Impalas à tête noire, des Autruches, Kudus et faucons, des antilopes et des gazelles et Girafes qui boivent.
Dernier trou d’eau avant la porte Andersson, Impalas noires et Lions en goguette
Swakopmund et Skeleton coast
15/12
Nous partons pour Swakopmund via des routes principales et d’autres très transversales. Le chemin est long nous nous arrêtons pour manger.
Nous arrivons à Swakopmund à 15h00. Après l’enregistrement au Deutsches Haus la répartition entre les chambres, nous partons à pied explorer la ville et la plage.
Réservation sur la jetée du restaurant The Tug recherche de la Krystal Gallerie et petit passage sur la plage. Nous revenons très rafraichis vers 17h00 et restaurant de l’hôtel pour 19h30. Au menu poissons mélangés et pour Enea énormes boulettes de viandes de gibier et frites. Un petit dessert et ensuite retour chambre et télé.
16/12: Aquarium de Swakopmund nullissime puis ballade à la plage où les filles profitent de la mer. Retour par une galerie commerciale avec un café qui sert de bons milkshake, des tartes et autres et des magasins de souvenirs dans les environs.
14h00, nous sommes à l’hôtel nous ressortons pour faire les magasins pour nous et les filles. Pour compliquer tout cela en plus d’une sieste manquée de vêtements à nettoyer, nous faisons des dépenses somptuaires entre tableaux, statues, colliers en pierres semi-précieuses et autres pour les filles.
17/12: L’erreur de ma vie, nous allons à Cape Cross voir la colonie de phoques veaux marins.
mère allaitant son petit à gauche et plage avec une partie de la colonie à droite
Le spectacle est écoeurant…Des petits morts partout, des mères qui négligent leurs petits ou les rejettent. L’odeur est pestilentielle, les phoques sont agressifs, les cris des petits déchirants. Il y a quand même des nurseries ou garderies où sont concentrés les petits, les adultes sont sur la plage ainsi que le gros males dominants.
Bref, nous repartons vite, les filles sont choquées et pleurent. Nous avons vu le Padrao élevé à cet endroit en 1500 par Cross (d’où le nom du Cap).
photo du padrao et de la mer xx
Nous allons nous changer les idées au lodge du Cap Cross à 4 km de la colonie. Un autre monde, mer et plage des maisons autour du lodge, c’est calme nous mangeons mal mais cela nous aide à faire passer le malaise. Les enfants cherchent des coquillages sur la plage longue très longue plage et d’autres animaux que nous ne verrons pas. Il y a un musée (le lodge était un phare ou un refuge pour les marins peut-être), nous voyions les fouilles et trouvailles des épaves et achetons (encore) des colliers en pierres semi précieuses pour tout le monde.
Finalement chemin du retour et arrêt sur la côte là où git une épave très connue, des vendeurs ambulants nous proposent des pierres contre ce qui me reste et de la nourriture une bonne action de notre côté car au moins ils auront un peu à manger et nous avons de jolies pierres brutes évidemment mais namibiennes.
Des blocs de sel, sur un pqrking de Skeleton Coast, mais ils manquent les vendeurs…
Retour hôtel et resto le soir.
18/12: Visite du musée de swakopmund et de la ville côté phare, achats de nos colliers très chers cette fois chez un joaillier. Café avec des milkshakes, cordials et tourtes. Retour a l’hôtel puis recherche desespéré de sandales pour thierry et enfin le soir nous dinons au Jetty pour finir. Le jetty est le restaurant au bord de la jetée vue sur la mer et bruit du ressac et des vagues qui heurtent la base de la jetée.
C’est joli mais bruyant, trop bruyant et malheureusement la vue sur la mer est gâchée par notre position et tous les autres clients et le bruit incessant.
Finalement retour à 20h30 a l’hôtel et au final tout le monde dort avant 22h00.
19/12: Petit déjeuner tardif sur la terrasse de l’hôtel moyen comme les jours précédents, nous finissions de refaire nos bagages (vêtements propres, achats, etc) et départ pour Solitaire via le circuit dit des Welwitschia dans le Namib Naukluft.
Donc des lichens, les Goanikontes, moon Landscape et finalement à 15h00 les Welwitschia.
Goanikontes: une drôle d’oasis au milieu du désert du Namibmoon landscapeUne petite partie du Moon Landscape
Les goanikontes hébergent une oasis avec une ferme , un garage et un restaurant au milieu du Naukluft. Grâce à l’eau d’une rivière souterraine, cette drôle de station s’est développée et sert d’arrêt peut-être même de base de départ pour du camping dans le Naukluft. Animaux en liberté et cadre idyllique ne changeront pas le fait que nous avons été oubliés pour notre déjeuner et que nous avons attendu presque 2 heures pour avoir des sandwichs et viandes graisseuses. Après cela nous repartons pour essayer de trouver les Welwitschia , dont la plus ancienne connue qui doit faire 5 m d’envergure et doit avoir environ 3000 ans ou beaucoup plus. Ces plantes sont archaïques voire préhistoriques et sont malheureusement menacées par l’exploitation des mines et le tourisme sans respect, de la cote des Squelettes. Les touristes passent n’importe où sur les routes de sables et détruisent ou roulent sur les Welwitschia ou des petits animaux du désert… Dans un désert où la vie est plutôt rare, c’est assez écoeurant de voir l’ignorance des gens ou leur bêtise.
Welwitschia femelle
Bref, une fois les Welwitschia admirées sour un soleil et une chaleur écrasante nous repartons pour Solitaire, par des chemins ou routes sinueuses des passages dangereux en montagnes et des zones désertées…
Après un col très étroit sur une route sableuse et des apics effrayants nous arrivons sur des routes en gravier, super moyenne de 50 km maximum. Solitaire ses dunes sa desert Farm et son dîner correct. Ai- je mentionné les Autruches qui se regardent de part et autre de la route ??? Oui assez amusant il n’y a rien que des terrains tous grillagés des animaux un peu et tout d’un coup des autruches mâles évidemment qui se regardent ou se jaugent des 2 côtés de la route… Jamais compris comment ils savaient que l’autre était là, mais il faut bien s’occuper non ?!
Solitaire Desert Farm
19/12 Solitaire Desert Farm est comme son nom l’indique une ancienne ferme qui a été transformée en lodge et mini réserve. A notre arrivée on nous sépare filles dans une chambre et nous dans une autre, les chambres font partie de l’ancienne ferme avec des portes à 2 battants inférieur et supérieur: bétail surement élevés là et chevaux.
Nous n’avons pas de climatisation vraiment fonctionnelle masi cela ira. il fera frais pendant la nuit.
Le soir, à 21h00 Night Drive pour toutes, au programme Civette (enfin !) dik-dik, Steinbok, Zèbres et des guépards en captivité 6 superbes que nous pourrons voir de très près… Pas mal, au final retour complètement vannées 23h30: au lit sans reste !
20/12 Lendemain matin debout 7h30 petit-déjeuner à 8h30, puis trempage des pieds et enfin départ à 9h30 pour Sossuvlei. La route est très mauvaise jusqu’à Sossuvlei . Encore pire que pour Solitaire, nous arrivons après 11h00 après un arrêt à Sesriem par erreur. Quand je dis Sesriem le camping et camp de NWR pour Sesriem et la bande de Sossuvlei…
vue sur Solitaire et la piscine de la Desert Farm
Sossuvlei et Sesriem Canyon
20/12 au 22/12 nous resterons au Sossuvlei Lodge littéralement à 3 km de l’entrée pour la bande de Sossuvlei et le parc du Namibrand avec ses splendides dunes la mamn, le papa, dune 40, dune 45 ses animaux du désert. Le site est repertorié par l’Unesco comme l’un des plus beaux à cause des Dunes et du sable rouge et orange et marron et jaune…
Donc au Sossuvlei Lodge un peu luxueux, attente au bar nous sommes arrivés trop tôt petit thé glacé et cocktails sans alcool. Les tentes sont luxueuses certes, il y a une belle petite piscine, un énorme restaurant avec un choix des viandes de gibiers jamais vu auparavant le bar est mal climatisé et honnêtement même si la piscine est très agréable il est difficile d’y rester trop longtemps l’après-midi à cause du soleil et de la chaleur écrasante. Enfin bref, de quoi je me plains j’ai voulu visiter le plus vieux désert du monde en plein été ou pas ?!
Nous dînerons toujours à 20h00 avec des boissons du vin ou de la bière soda etc. Nous ne faisons rien l’après-midi mais un peu de piscine, beaucoup pour les filles les magasins boire lire…
Les fameuses dunes rouges du désert du Namib
21/12 Nous partons à 5h45 pour Sesriem et Sossuvlei. A 6h00 les portes du parc s’ouvrent et c’est la course pour arriver au bout de la route donc près de Sossuvlei.
Dune Elim Dune 45 et enfin Hiddenvlei où Thierry réussira à s’enliser ou presque. Nous nous arrêtons sur ce parking un peu plus avancé en sable, loin des bus et autres touristes de masse 🙂 et nous prenons la direction de Deadvlei.
Parking et dunes avoisinantes
La dure vie de touristes escaladant les dunes. En cas de doute lire les panneaux 🙂Photo de Deadvlei ensemble…Deadvlei ou tout n’est pas mort, et oui qui dit Pan dit eau… la zone est presque plus verte qu’Etosha par endroit.
Visite des pans Hiddenvlei, et en route pour Deadvlei, passage sur les crêtes des dunes observations de la faune et flore du désert du Namib. Au retour passage sur la Big Daddy Dune puis retour. Arrêt a Hiddenvlei mais nous n’irons pas jusque là puisqu’il fait déjà trop chaud et il n’est que 9h..
Sossuvleiv et la zone des dunes classée au patrimoine universel de l’Unesco
Retour a l’hôtel pour 09h30 après les paiement du droit d’entrée pour le Sossuvlei et le Canyon de Sesriem pas le temps à l’ouverture, si-si une course de voitures sur la seule route goudronnée de la région !! Ne pas chercher la logique il n’y en a pas.
Deadvlei
Sesriem Canyon après l’avoir cherché nous ne le trouvons pas, car je n’avais pas compris quelle route exactement nous devions prendre.
Le « grand » Canyon de Sesriem, vers l’entrée ou la zone la plus étroite
Bref à 11h30 hôtel piscine et repas dans les tentes et repos. Au final bar, magasin de souvenir et nous allons seulement avec une de mes filles en fin d’après-midi visiter le Canyon de Sesriem.
Sesriem le milieu
C’est long pentu, difficule d’y marcher et il y fait chaud mais il y a de l’ombre et du vent. Un vrai canyon petit et long difficile à voir de la route c’est vrai.
Sesriem vers la zone plus ouverte du Canyon
Retour après une marche au pas de course mais qui aura duré plus longtemps que prévu (pas loin de 2 heures quand même). Douche, dîner et retour à la tente pour 21h30, il y a des chatons qui se promènent, nous les nourrissons avec les biltongs qui nous restait, une bonne action ils auront un repas pour la nuit et nous avons donné des biltongs que nous n’aimions pas trop.
22/12 Départ à 9h40 pour Klein Aus Vista and passant par le parc national et des concessions privées du Namibrand. Oryx, Zèbres Faucons et Springbok. La route est mauvaise mais moins que la portion jusqu’à Solitaire.
Route du Namibrand avec les Zèbres
Klein Aus Vista/ Aus et les chevaux sauvages
Cette route est étrange et nous arrivons à 15h30, après avoir déjeuné sur le pouce et nous être arrêtés de nombreuses fois pour admirer les paysages…
Namibrand avec les melons du désert.
Repas tardif le soir sauf pour Thierry puisque nous avons acheté à manger a Betta. encore un exotisme une station service sur la route au milieu de nulle part où nous achetons à manger des pies, sandwichs, glaces et du sirop de citron et confiture de figues de barbarie: des produits locaux. Ils faisaient aussi camping et moins amusants stockage d’Oryx et vaches pour la viande dans des hangars à bestiaux.
Le soir après un passage à la piscine de Klein Aus Vista des cocktails au restaurant et bar, nous sommes répartis entre des maisons en formes de ranchs, nous allons dîner sans Thierry: il a pris un cocktail au citron trop sucré peut-être. Petite lessive dans nos chambres…
Retour après un repas beaucoup plus fin que d’habitude mode Western. Il y a des Oryx dans un enclos à côté des maisonnettes, une essaiera de me donner un coup de corne. Passage magasin de souvenir.
Un peu d’histoire encore une ancienne exploitation reconvertie en Lodge et camping réserve privée. La concession d’ailleurs était donnée pour l’élevages des Autruches et autres… et nous sommes dans la zone du Sperrgebiet, zone minière pour de l’or et des diamants…. donc montagnes et déserts et eau… sinon pas de ville ou d’habitation.
Route de Lüderitz et du Cap Diaz
Dans la région, certains ont découvert que les chevaux des anciennes concessions et fermes ont réussi à survivre et une population oscillant entre 50 et 350 chevaux vit dans la zone, retournée ou presque à l’état sauvage. Klein Aus Vista essaye d’installer et entretenir des points d’eau et de les suivre avec d’autres associations ou exploitants du secteur… Une excellente initiative puisque ces animaux ont tout autant le droit de vivre que le bétail encore élevé dans la zone et qu’ils sont là à l’état sauvage depuis au moins 50 ans ou 100 (les versions varient).
Garub Pan et des chevaux du désert
23/12: Valises faites, petit-déjeuner et magasin de souvenirs: donc facture salée, départ pour Lüdéritz vers 10h00. Arrêt au Garub Pan pour voir les fameux chevaux sauvages. Coup de chance il y en a. Un poulain qui joue avec sa mère un étalon qui se roule dans l’eau, jolies scène. Nous repartons pour Lüderitz sans arrêt, gares fantômes du côté gauche de la route, chevaux qui se grattent sur les poteaux téléphoniques puis le désert du Sperrgebiet zone minière à Diamantencore exploitées et interdite d’accès.
un cheval en pleine action, le poteau bougeait un peu 🙂
Lüderitz et Kolkmanhof, Sperrgebiet
23/12:
Passage à côté de Kolkmanhof, une des villes fantômes de la région et arrivée à Lüdéritz ville du bout du monde et oubliée de la Namibie pendant presque 1 siècle puisque comme son nom l’indique c’est une ville allemande à l’origine et un port qui a été volontairement mis de côté lorsque les Allemands ont perdu la direction de la Namibie au profit de l’Afrique du Sud.
Crassulacées qui forment des tapis roses dans le Namib Naukluft (à G) cadavre de vipère (Puff ader) (à D)
Nous arrivons au bout de la ville et de la route, d’une route goudronnée nous passons au sable. L’hôtel Nest est au bout de la route en gravier, de la ville et de la jetée et littéralement à côté de la mer.
Enfin à 1,5 mètre… C’est un hôtel correct, tranquille mais le vent est très fort et fait trembler les fenêtres. D’ailleurs la mer lèche les murs de l’hôtel à marée haute. Nous sortons en ville mais comme c’est dimanche c’est un peu mort et nous retournons au Nest très vite. Là nous testons des cocktails au bar et sur une des terrasses et puis ensuite le dîner dans le restaurant le soir.
24/12:
Nous allons visiter la ville fantôme de Kolkmanskop après le petit-déjeuner. Après la visite musée et des maisons à moitié englouties, nous partons sur la côte.
maison engloutie par le sable, intérieur
Cette ville était une ville relais où le chemin de fer passait et amenait les diamants exploités dans la région. Elle s’est développée entre 1900 et a été finalement totalement abandonnée après la 2ème guerre mondiale à cause de son manque de rentabilité.
Kolkmanskop, photo de droite vue de la mason du gouverneur 🙂
Les maisons ont été construites dès 1903 entre la maison du gouverneur des ingénieurs et puis au fur et à mesure les maisons sont devenues des baraquements et donc se sont révélées moins bourgeoises et donc moins solides.
Maison du maire et de l’architecte, plus la salle de bain du maire
Un garage ou une baraque branlante et le bâtiment des ouvrierscôte de Lüderitz et Cape Diaz.
Phare et camping ou hotel abandonné du Cap Diaz
Après avoir visité la ville le musée dans un des bâtiments principaux qui a également servi de poste, mairie et école, nous faisons le plein ne souvenirs et en eau et hop direction la côte et les baies de Lüderitz. Il y en a 2 plus une fausse baie :). Enfin nous arrivons à la pointe et au Cap Diaz.
Colonie de phoques du Cap Diaz, le Cap Diaz
Au Cape Diaz, donc se trouve un Padrao, des plages, un phare et un restaurant camping abandonné. La passerelle est rompue suite à une tempête énorme, il est vrai que ce lieu splendide est aussi très sauvage, battu par les vagues et le vent. Mais il est splendide, même s’il est perdu au milieu du Sperrgebiet et des zones de concessions minières (Diamant quoi d’autre).
L’estran au cap Diaz
Nous y verrons des phoques et dans les baies des salines naturelles avec des Flamants plus ou moins roses.
Marais salant avec des flamant roses ou pas et des crevettes et algues rouges qui donnent leur couleur aux Flamands :)…
Retour à l’hôtel après achat au supermarché du secteur (c’est Noël nous faisons la réserve pour le lendemain). Déjeuner léger passage au bar le soleil le vent le désert et le sel nous ont littéralement cuits.
Drôle d’impression une ville perdue au milieu de nulle part, une île en fait sur la terre mais l’image est là.
le soir dîner de Noël décevant mais je n’ai pas voulu dire que nous prendrions à la carte et donc j’ai manqué l’occasion de gouter les langoustes et homards !
Enfin retour aux chambres cadeaux de Noël film et dodo avec le bruit du vent et le ressac des vagues.
25/12: debout vers 8h30 petit-déjeuner libération des chambres pour 10h00 et en route pour Keetmanshoop. Le chemin est long mais agréable jusqu’à Aus où nous reverrons les animaux. Dernier plein a Aus le village puis nous continuons jusqu’à Keetmanshop en nous perdant sur la route nous passons à côté du chateau de Duwisib Castle construits par un noble allemand pour sa femme… et abandonnée après la 1ère guerre mondiale lorsque la pauvre s’est retrouvée veuve et étrangère dans ce pays….
Keetmanshop : Je pense pouvoir dire que c’est une ville et une zone horriblement moche, la ville est au milieu de nulle part plaine aride et moche. Cette ville est à moitié abandonnée, la région avec des villages et des fermes en piteux états . La voie ferrée sert de lien sur le chemin ou de cordon ombilical dans cette région vraiment peu propice à la vie. C’est encore moins vivant que les zones limitrophes au Namib Naukluft.
Nous traversons la ville et continuons vers la ferme et la Quivertree forest.
Quivertree
Donc la ferme et ses maisons igloos est surprenante. Mais il fait chaud très chaud; trop….
La ferme est tout d’un coup comme une oasis dans un désert, des inséparables de la verdure et un peu plus loin les Quivertree et les giant rock playground.
Le soir nous allons voir les guépards gardés par le fermier ancien ranger si j’ai bien compris. Il a 2 mâles et 3 femelles dans des enclos séparées par loi Namibienne…Les mâles sont assez agressifs et des petits non prévus d’une femelle que nous ne verrons pas. Les femelles jeunes et plus habituées aux gens et aux chiens…`Les mâles d’ailleurs nous cracheront et nous feuleront dessus. Ils ont tous des enclos immenses pour aller courir et se promener, chasser pas trop ils mangent le poulet ou autre viande fraîche donnée par le fermier, leur père ou presque.
Guépards de la ferme, mâle à gauche et femelle à droiteUn Quivertree symbole de la région dans le giant playground roches aussi symboliques de la régionDes inséparables en libertés … la preuve qu’il y a de l’eau d’ailleurs ils sont nombreux à la ferme Région de Keetmanshoop
Le soir visite de la forêt de Quivertree au coucher de soleil, mais même a cette heure il faut trop chaud et sec. Les Quivertree servent de nids pour les social Weaver et les inséparables. Pas de vie sinon lézards et des damans ou leurs crottes…
Les Quivertree sont en fait parmi les ancêtres des arbres, ils font partie de la famille des Aloe ( si-si des plantes grasses). ils sont splendides et extrêmement résistants plus que les Welwitschia parce qu’ils grandissent et se reproduisent plus vite que les plantes :).
Après cette visite nous retournons à la maison dîner dehors à la fraîche et observation des étoiles et de la voie lactée.
Difficile d’ignorer les couchers de soleil, c’est splendide, le vent moins et les scorpions encore moins… Coucher à 21h30 et tentative de survie avec une climatisation peu efficace.
Coucher de soleil sur Keetmanshoop
26/12: mauvaise surprise pas de petit-déjeuner inclus ce jour là tout commence le soir par ma faute ou une mauvaise compréhensions avec la patronne, bref à 08h30 nous partons chercher un supermarché en ville ouvert. Miracle nous en trouvons un gros achat: jambon, pain, lait jus de fruits, gâteaux et un bon petit-déjeuner puis la visite de la Giant Playground et retour à la maison lessive piscine, jeux avec les chiens de la ferme. Les filles joueront beaucoup avec les chiens et le chaton. Sieste, repas à l’ombre et le soir dîner dans la maison pas mal viande de Springbok et salades. Puis les étoiles et la tempête.
27/12: petit-déjeuner dehors moyen paiement et départ avec le seul contrôle policier du voyage. En route pour la capitale nous voyons des villes de l’eau et de la vie…Et l’orage qui se masse en montant sur Windhoek.
Windhoek Hôtel Thule
Arrivée à Windhoek vers 13h00, petit souci de carte de paiement, je vais donc tirer de l’argent en ville et paiement des chambres car je dois en prendre une autre (ils ne veulent pas mettre un lit supplémentaire dans l’espèce d’appartement familial). 2 filles vont dormir dans la chambre immense et nous gardons la chambre familiale. Déjeuner ultra-tardif au bar dehors, puisque le restaurant est fermé.
Puis repos, nous profitons de la télé, la chambre, la terrasse… Jusqu’à la tempête tropicale finalement l’orage éclate, éclairs énormes, vents et pluies diluviennes.
Il pleuvra jusqu’au soir vers 19h30 où nous allons manger mais s’il fait froid donc nous nous rapatrions à l’intérieur. Rien de bien léger mais cela et les desserts nous remplissent suffisamment. Retour à nos chambres et sommeil sauf que la nuit sera courte à cause d’une alarme de voiture insupportable.
28/12:
Bref nous déjeunons et partons dans un mall faisons des achats et après une glace sous forme de beignets retour à l’hôtel. Déjeuner léger repos et repluie, cette fois la tempête est agrémentée de vents violents qui feront pénétrer l’eau dans les chambres. Et oui il y a un peu d’espace entre les fenêtres et leurs jointures ou les murs.
Le soir dîner au restaurant et après steak d’Oryx poissons et autres plus desserts retour dans les chambres et nous finissons de faire les bagages. C’est d’ailleurs l’occupation depuis le midi.
29/12 : petit -déjeuner à 8h00 départ à 09h00 retour de la voiture à l’agence de location sur Windhoek (heu mais c’est où bon sang…). Nous laissons la voiture et sommes raccompagnés à l’aéroport, où pour bien finir le voyage nous dépensons tout l’argent liquide qui nous reste (moi excessive peut-être mais après les soucis de carte bleue j’ai préféré prendre beaucoup d’argent liquide pour parer à tous les ennuis prévisible). 2 heures d’attente dans le terminal et avion Qatar plein cette fois, donc pas de sièges libres pour s’allonger et dormir.
Doha escale Hôtel Oryx- vol retour Helsinki
Nous ne dormirons pas de toute façon dans l-avion nous sommes tous répartis sur des rangées différentes. Arrivée à 22h30 à Doha et à l’hôtel Oryx . Après avoir fait le check in et le paiement des chambres , tiens la carte de paiement passe (oui bon c’est aussi une Amex :), nous nous baladons au niveau des magasins du Terminal, puis douche plus que bienvenue et enfin dormir dans un lit immense et une chambre très silencieuse. Je pense que nous avons battu les records pour nous endormir, 6h30 de sommeil réparateur re-douche et thé et changements de vêtements mode hiver. nous repartons au Terminal pas très en avance et finirons, du fait de changement mal affiché de porte d’embarquement, par arriver et embarquer parmi les derniers passagers bien sûr. Les familles ne sont pas une priorité pour Qatar Airways.
Ensuite installation dans l’avion, films, petit-déjeuner et après 6h de vol arrivée dans le froid et l’obscurité d’Helsinki.
Le plus long sera de retrouver la voiture dans le parking longue durée et bien sur de rentrer à la maison.